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Les voies de l'étrange et du mystérieux
Les voies de l'étrange et du mystérieux
  • Ce site se propose de rapporter des histoires mystérieuses et peu connues. Car bien souvent, le paranormal est là où on ne l'attend pas. Il évoque aussi certaines énigmes, en les abordant sous un angle inédit.
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Les voies de l'étrange et du mystérieux
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30 mai 2017

Genèse

Ayant reconnu la vérité sur les origines de l’homme, j’ai hésité à la révéler. C’est une vérité bouleversante, dont les conséquences sont imprévisibles dans tous les domaines du comportement humain. La décision me fut facilitée par la Genèse de la Bible. Je m’aperçus que la vérité sur les origines de l’humanité avait déjà été dite, de nombreux millénaires auparavant, dans ces brèves lignes riches de contenu.

Ce que la Genèse décrit sous forme imagée concorde entièrement avec ce que j’ai constaté.

La Genèse est une description claire de la formation de la vie sur la terre, en particulier de l’évolution contre nature qui transforma, par le cannibalisme, un animal poilu en un être humain, lequel, en consommant le fruit du savoir, devint un malade sexuel et un malade mental.

L’intelligence acquise de façon antinaturelle provoqua l’aliénation mentale et les obsessions de l’homme qui lui imposèrent le concept pathologique de travail et de progrès. À l’aide de cette intelligence, il dévastera la terre qui finira par ne porter que des épines et des chardons, jusqu’au moment où il achèvera son existence dans le désert.

L’histoire que raconte la Genèse en une langue imagée et tronquée n’est plus comprise aujourd’hui. Dans sa forme originale, elle date d’environ 50 000 ans et a été rédigée par les hommes-dieux dans la sphère culturelle de la Mésopotamie, peu de temps avant que ne s’accomplisse l’aliénation mentale. Grâce à leurs facultés de perception suprasensible, ces hommes-dieux ont pu retourner jusqu’à un passé où il n’existait sur terre aucun être humain et aucune vie. Ils purent voir aussi un avenir lointain, où de nouveau il n’y aura plus d’hommes sur terre.

Dans les traditions mythologiques des religions antiques, on parle de ces hommes-dieux et ils sont mentionnés entre autres dans les écrits hindous, égyptiens et mésopotamiens. Leurs déclarations ne s’appuyant nullement sur des spéculations ou raisonnements, mais sur leurs perceptions suprasensibles, étaient donc pure vérité.

Quand l’aliénation se répandit en Mésopotamie, les langues avaient encore un vocabulaire très pauvre et inaccessible parce que l’homme commençait à peine à parler pour remplacer la transmission de pensée à laquelle il était devenu inapte. Cependant, il y avait déjà une idéographie compliquée mais compréhensible, utilisée aussi par les hommes-dieux.

Il est facile d’imaginer la difficulté qu’il y avait à exprimer, en écriture imagée, la fameuse chute. Mais il est encore plus difficile de la rendre correctement en paroles. Pour les notions abstraites, les auteurs de la Genèse utilisaient des images de tous les jours. Ils présentèrent toute l’histoire comme une pièce de théâtre avec un dialogue vivant, afin de la rendre plus compréhensible. Dieu s’y promenait dans le jardin en appelant l’homme qui se cachait de lui. En réalité, Dieu ne parlait évidemment pas car son partenaire était encore un singe velu qui ne parlait pas mais se faisait comprendre, comme tous les singes, par télépathie.

La Genèse était encore généralement comprise les premiers temps, quand elle était racontée oralement, et plus tard quand elle fut consignée en écriture imagée. L’interprétation se fit de plus en plus incertaine à mesure que se répandit l’aliénation mentale. Il n’y avait plus d’hommes-dieux capables de déceler la vérité et d’interpréter correctement la Genèse.

Dans les siècles suivants, celle-ci fut racontée d’innombrables fois entre le Nil et le Gange et toujours rédigée à nouveau en écriture imagée, où surgissaient forcément de nouvelles figures dont l’interprétation s’écartait de plus en plus du sens initial et que personne ne comprenait plus avec exactitude.

Proche-Orient dans l'Antiquité

Aujourd’hui encore, les versions les plus anciennes et les plus proches de l’original se trouvent en Mésopotamie, profondément enfouies sous la terre, consignées en écriture imagée sur des tables d’argile brûlée. Ces versions datent encore d’avant le déluge, donc de 40 000 ans environ. Les catastrophes comme le déluge et les fréquentes crues ont recouvert la plus ancienne culture humaine d’une couche de terre de 80 à 120 m d’épaisseur. Un jour, on déterrera ces tables d’argile et elles parleront plus nettement que les fragments tronqués des innombrables versions qui nous ont été transmises.

Lors de la rédaction des textes que nous avons recueillis, l’aliénation mentale de l’homme était déjà si avancée que personne ne considérait plus comme possible ce que l’on racontait sur lui. Ces symboles étaient interprétés par erreur comme des notions précises et c’est à peine si on reconnaissait leur sens véritable.

Ce que l’homme ne comprenait plus, il l’interprétait à son avantage, et là où il trouvait des lacunes, il complétait toute l’histoire avec ses propres inventions qui le faisaient apparaître sous un jour favorable. Ayant perdu le souvenir de son existence préalable, il se fit le ministre de Dieu sur la terre et s’arrogea une mission divine. Il y était incité par son cerveau malade dans lequel subsistaient encore des souvenirs subconscients de son ancienne condition lorsqu’il était l’image de Dieu.

Il y a 3 000 ans à peine, Moïse et d’autres philosophes juifs choisirent les deux variantes sumériennes de la Genèse, légèrement divergentes, qui étaient les moins tronquées. C’est ainsi que les « livres de Moïse » contiennent deux variantes de la Genèse qui ont été admises, depuis lors, dans l’Écriture sainte, comme élément stable. Comme ni leur origine ni leur sens n’ont été évidemment pleinement reconnus, on a interprété ces versions de façon confuse et aussi avantageuse que possible pour l’homme. Plus tard, on les rattacha à l’histoire nationale juive sans tenir compte de la longue période qui s’était écoulé entre-temps.

=> Il est bon de noter que la fable hébraïque, qui voudrait qu’Ève ait été tirée d’une côte d’Adam, est inspirée de la mythologie sumérienne : lorsqu’un dieu voulait une compagne (une déesse), il n’avait qu’à l’extraire de sa côte. La tradition juive a intégré ce mythe, sans le comprendre.

Les chrétiens adoptèrent la Genèse dans leurs textes comme les livres de Moïse. Il y eut donc dans la Bible des chrétiens, deux versions. Quand celles-ci furent traduites de l’hébreu en de nombreuses langues, il se forma à nouveau d’autres différences. 

original-sin-satan

L’interprétation actuelle de la Genèse est très arbitraire et elle confine au mystère, bien qu’elle ne contienne rien de mystérieux. C’est un traité concret. Elle ne devient mystérieuse et incompréhensible que lorsque des théologiens et savants sont décidés à fausser la vérité afin de donner à penser que l’homme est chargé d’une mission divine, ce qui justifierait son comportement absurde et dénaturé.

Au fond, cette théorie plait à l’homme et il se contente de cette interprétation flatteuse.

=> À la lumière de ce que nous savons, certains versets bibliques (pompés sur les tablettes sumériennes) prennent un tout autre sens : les douleurs de l’enfantement ne sont pas une malédiction divine, mais une conséquence de la consommation de cervelle. La très grande majorité des humains a une tête disproportionnée, ce qui n’est pas le cas des animaux. Le bébé animal, contrairement à 90 % des bébés humains, a une petite tête, et une fois que la femelle n’a plus de contractions, l’utérus l’expulse sans aucun problème (à moins qu’il ne soit mal positionné, car cela arrive aussi). Tandis que les femmes doivent forcer, pousser… avec les souffrances qui vont avec.

=> « C’est par un travail pénible que tu en tireras ta nourriture tous les jours de ta vie ; il te produira des épines et des chardons, et tu mangeras l’herbe des champs. C’est à la sueur de ton visage que tu mangeras du pain… » Il est vrai qu’avant de s’adonner au cannibalisme cérébral, nos ancêtres avaient la vie facile, il leur suffisait de cueillir des fruits… Mais comme ils avaient dégénéré, cela ne suffisait plus à leur alimentation, et ils ont dû lutter pour leur survie comme jamais auparavant, sans compter qu’ils étaient des proies faciles pour les carnivores. Vu leur faible constitution, ils ne pouvaient plus se contenter de vivre comme les autres animaux, ils ont été obligés de se construire des abris, leur vie n’était pas de tout repos.

Et Dieu fit à Adam et à sa femme des tuniques de peau et les en revêtit.

=> À l’époque où les Sumériens avaient écrit leurs tablettes, il faisait froid en Mésopotamie - c'est plus tard, avec le déboisement à grande échelle, que les températures ont augmenté - et les hommes, ayant perdu leur pelage, durent se vêtir de peaux de bêtes pour pouvoir résister aux intempéries.

La Genèse présentait un autre mystère : Dieu défendit à l’homme de consommer le fruit du savoir, c’est-à-dire une substance matérielle, car il ne fallait pas que l’homme devînt intelligent. Il le menaça même de « mourir » s’il mangeait de ce fruit. On peut se demander avec raison pourquoi l’intelligence et le savoir sont brusquement un péché.

[...]

Le savoir et l’intelligence sont pourtant des qualités divines. Pourquoi Dieu ne voulait-il pas que son « image » possède ces qualités ? Tous les êtres vivants atteignent un degré d’intelligence défini qui correspond à leur évolution naturelle. Si l’intelligence est un péché, le manque d’intelligence serait une vertu. Pourquoi Dieu permet-il aux animaux de devenir de plus en plus intelligents au bout de millions d’années d’évolution naturelle ? Même les théologiens reconnurent que l’intelligence ne pouvait être un péché et déclarèrent à juste titre que le péché de l’homme était de vouloir devenir aussi intelligent que Dieu et que cela déplaisait à Dieu. Mais jusqu’à aujourd’hui, ils ne peuvent pas dire comment l’homme voulait atteindre cette intelligence particulière, ce que la consommation d’une substance matérielle avait à faire dans l’histoire et quel rôle jouait ici le serpent, symbole sexuel. Cela est le nœud de la question et c’est en même temps la plus grande énigme de la Genèse : qu’est-ce que l’intelligence a à voir avec la consommation d’une substance matérielle ? Y a-t-il quelque chose qui ressemble au fruit du savoir ?

Les théologiens n’ont pas trouvé d’explication à ce problème. Ils ne pouvaient savoir qu’il y a bien une substance naturelle et matérielle, un fruit du savoir dont la consommation peut rendre intelligent, et même dénuder. Si l’on avait questionné à ce sujet, non les théologiens, mais le chef de tribu Umkulumkulu ou d’autres chefs cannibales, à Bornéo, ils auraient répondu rapidement et correctement à ce point de la Genèse. Ils auraient même su expliquer pourquoi le serpent, symbole de la sexualité, a poussé l’homme à consommer le fruit du savoir, et le fait encore aujourd’hui là où l’on pratique le cannibalisme.

On a cependant négligé d’interroger les cannibales et comme d’habitude, on a eu la légèreté de confier la solution de ces problèmes aux « spécialistes ».

[…]

Depuis des temps immémoriaux, le serpent est le symbole de la sexualité. Aujourd’hui encore, on consomme des serpents en Chine et dans d’autres parties d’Asie pour augmenter sa vitalité sexuelle. Cet aphrodisiaque agit dans les deux heures qui suivent, et se traduit par un échauffement physique suivi d’un renforcement des impulsions sexuelles. Il y a même à cet effet des restaurants spécialisés. Comme la vitalité sexuelle signifie aussi la santé, l’emblème professionnel des médecins et pharmaciens est encore aujourd’hui un serpent.

Le serpent qui personnifie aussi la sexualité, dans la Genèse, n’eut aucune difficulté à promettre à l’homme une intelligence supérieure, si celui-ci goûtait le fruit du savoir, car Dieu avait dit de ce fruit qu’il rendait intelligent.

La Genèse exprime ainsi nettement deux choses qu’aucun théologien ne peut nier : premièrement, le fruit porté par l’arbre du savoir est une substance matérielle qui rend intelligent et, deuxièmement, les motifs qui ont amené l’homme à consommer cette matière sont de nature sexuelle. Et la Genèse dit encore très clairement que la consommation de ce fruit est le péché originel lui-même.

[…]

La Genèse explique donc sans équivoque le péché originel : dans son désir de ressentir des plaisirs sexuels, l’homme consomma une substance qui augmenta ses impulsions sexuelles et le rendit en même temps intelligent.

Les hommes préhistoriques étaient cannibales

=> Dans Les possessions diaboliques, de Roland Villeneuve, on peut lire au chapitre Tentations, obsessions, possessions : "Une dame, écrit le docteur Rouby dans son étude consacrée à Marguerite-Marie Alacoque, "a un diable qui couche chaque nuit avec elle sous la forme d'un beau jeune homme; elle le préfère de beaucoup à son mari, parce qu'elle éprouve avec lui des sensations extraordinaires; pendant le jour ce diable est logé au fond de son corps, sous la forme d'un petit serpent; elle le sent très bien, il remue sans cesse. Lorsqu''elle est couchée, il sort de sa retraite et prend la forme humaine pour devenir son amant." Dans ce cas, l'assimilation du serpent au membre viril saute aux yeux. Instrument éventuel de plaisir, le serpent sait aussi châtier l'abus des voluptés. On le désire et en même temps on le craint. Sur les reliefs sculptés de Moissac, les luxurieuses sont attaquées et dévorées par des ophidiens*. Les filles sexuellement insatisfaites repoussent à l'instar de sainte Christine de Stumbelen les hideux reptiles qui, en sifflant, cherchent à pénétrer dans leurs parties secrètes. À Jeanne Fery, religieuse professe du couvent des soeurs noires de Mons, les diables d'enfer font de même avaler de force un serpent qui la tourmente et l'empêche de communier."

*serpents

Voilà pourquoi le serpent est le symbole sexuel. En même temps que nos ancêtres acquerraient de plus en plus de jouissance sexuelle [et une intelligence supérieure], ils se sont mis à comparer l'attribut mâle avec un serpent... Malheureusement, les Hébreux, qui n'avaient rien compris à la métaphore, ont interprété les écrits des Sumériens au sens littéral, en y mêlant leurs traditions mythologiques : Satan, personnage qui n'a pas plus d'existence que tous ces dieux romains, grecs, égyptiens, etc..., et opposant à "Dieu", se serait changé en serpent pour tromper le "premier couple humain", en vue de leur faire acquérir la connaissance du bien et du mal... alors que les premiers hommes qui se sont livrés au cannibalisme cérébral non seulement ignoraient un tel concept, mais en plus s'en moquaient. S'ils ont violé les lois de la Nature, c'est uniquement à cause de leur sexe, et donc du serpent, puisque c'est ainsi qu'il était représenté. Plus ils éprouvaient de plaisir sexuel, et plus ils mangeaient de la cervelle, avec les conséquences fâcheuses qui en résultaient. Dit de façon métaphorique, le serpent ne cessait de se mordre la queue...

Voici ce que dit T. Lobsang Rampa, dans Les clés du nirvâna : "Prenons par exemple le récit de la Genèse, l'histoire d'Adam et d'Ève et du serpent; selon les rites orientaux, le serpent est un organe mâle, et la pomme le récipient qui contient la graine*."

*C'est moi qui souligne.

J'ai regardé à la télévision Petits meurtres entre riches. Ce documentaire nous fait entrevoir l'univers d'hommes riches, qui sont devenus meurtriers, quand ils n'ont pas fait sombrer leur entreprise et ruiné leurs familles, pour pouvoir assouvir leurs besoins sexuels avec des prostituées. Ils en voulaient toujours plus, jusqu'à ce qu'ils atteignent un point de non retour, et perdent tout ce qu'ils avaient : une famille, des amis, des revenus confortables, et l'estime de leur communauté. Là encore, c'est le sexe qui les a fait chuter... tout comme nos lointains ancêtres. Satan le diable, sorti tout droit de l'imaginaire judaïque, n'y est pour rien.

Revenons à notre auteur, Oscar Kiss Maerth :

L’intelligence n’est pas un péché en soi. Ce qui compte, c’est la façon dont on l’acquiert. On ne peut l’acquérir en allant à l’encontre de l’ordre naturel et dans la Genèse, Dieu met l’homme en garde contre ce processus.

Le cerveau cru de l’espèce à laquelle appartient un individu est cette nature si mystérieuse qui contient le savoir et la faculté de penser et dont la consommation accroît l’intelligence.

[…]

Quand il eut consommé le fruit du savoir, l’homme se cacha. Sa mauvaise conscience le tracassait; lui, animal végétarien, il avait tué des congénères entièrement innocents, non pour apaiser sa faim mais uniquement pour augmenter ses impulsions sexuelles.

Tout animal, et en particulier le singe, sait parfaitement à quel moment il enfreint l’ordre universel. On observe chez les animaux domestiques que ceux-ci peuvent avoir aussi une conscience, des remords, et même un sentiment de culpabilité.

[…] 

La pudeur n'a rien à voir avec le port de peaux de bêtes.

C’est en consommant la matière qui rend intelligent et non par ses mauvaises pensées, que l’être velu qu’était l’homme avait perdu son pelage. La Genèse ne dit pas que Dieu surprit l’homme en train de consommer le fruit défendu et le dénuda pour le punir. Cette perte survint comme une conséquence automatique du fait que l’homme avait consommé le fruit défendu du savoir. Comme on l’a mentionné, la consommation du cerveau perturba les fonctions de l’hypophyse, influençant ainsi le système pileux et la vie sexuelle.

La Genèse dit qu’après avoir péché, l’homme se tissa un tablier avec des feuilles et s’en servit pour cacher ses parties génitales. Ce comportement n’était pas sans raison. L’homme avait accru ses forces sexuelles en mangeant du cerveau et ses organes sexuels ne servaient plus uniquement à la reproduction, mais lui permettaient surtout d’éprouver un excès de plaisir sexuel. Comme cela impliquait le meurtre de ses congénères, il sentit naître en lui non seulement un sentiment de culpabilité, mais aussi un sentiment de pudeur.

Voici ce qu'il écrit ailleurs :

Les premiers hommes que la Bible nomme Adam et Ève sont les symboles de l’espèce humaine et non des personnes individuelles.

Selon la Genèse, Dieu créa l’homme à partir de la terre, ce qui signifie que celui-ci est d’origine terrestre et que son corps a été pris dans la terre. La Genèse ne dit nullement qu’il n’en est pas ainsi pour les animaux.

Si elle souligne particulièrement ce point chez l’homme, c’est qu’au temps où elle fut écrite, l’humanité victime d’aliénation mentale avait déjà perdu le souvenir de sa provenance et, prise dans ses fantasmes s’était inventé une origine extraterrestre et céleste.

À suivre Conclusions de l'auteur

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