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Les voies de l'étrange et du mystérieux
Les voies de l'étrange et du mystérieux
  • Ce site se propose de rapporter des histoires mystérieuses et peu connues. Car bien souvent, le paranormal est là où on ne l'attend pas. Il évoque aussi certaines énigmes, en les abordant sous un angle inédit.
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Les voies de l'étrange et du mystérieux
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29 mai 2017

La formation des races

Si les origines de l’homme ont, jusqu’ici, fait l’objet d’explications totalement arbitraires, il en est de même pour la formation des races. Les chercheurs se fondaient sur le fait qu’une race de singes unique, inconnue jusqu’ici, avait ouvert le chemin de l’hominisation, alors que toutes les autres races de singes en étaient restées à leur ancien mode de vie. En ce qui concerne la race de singes qui est passée à l’état humain ou l’endroit où se produisit ce phénomène, les avis diffèrent.

Un groupe prétend que l’homme descend d’une race de singes africaine parce que si les chercheurs ont trouvé les restes d’hommes primitifs en Afrique, ils n’ont pas trouvé leurs ancêtres.

L’autre groupe attribue ce titre à une race asiatique parce que s’il a trouvé les restes d’hommes primitifs en Asie du Sud-Est et en Chine, il n’a pas trouvé leurs ancêtres.

Les deux groupes de chercheurs sont d’avis cependant que seule une race de singes uniforme et inconnue jusqu’ici est passée entièrement et intégralement à l’état humain.

Certains soutiennent que les singes habitaient une région déterminée où ils sont devenus hommes. Ayant émigré hors de leur pays, alors qu’ils étaient déjà à l’état d’hommes, ils se seraient ensuite répandus sur toute la terre. Du fait des conditions climatiques et géographiques différentes, ils se seraient différenciés par la suite, dans leur aspect, leur stature et même leurs facultés mentales. C’est ainsi que se constituèrent les différentes races contemporaines. Certains de ces chercheurs prétendent même que cette différenciation n’est intervenue que dans les cent mille dernières années et qu’avant cela, tous les hommes avaient le même aspect physique.

D’autres rangent également les ancêtres de l’homme dans une race unique de singes. Celle-ci aurait cependant vécu depuis plusieurs millions d’années, dispersée sur tous les continents de l’Ancien Monde. Les conditions climatiques et géographiques différentes auraient déjà provoqué une différenciation chez les singes, de sorte qu’à cette époque, ceux-ci avaient déjà une morphologie différente.

Ces singes dispersés et déjà divisés en sous-races auraient alors vécu dans toutes les parties du monde et de plus, ils se seraient tous sans exception engagés brusquement dans la voie de l’hominisation. Ces « théories scientifiques » ne disent pas si les différentes sous-races ont appris cet art l’une de l’autre, s’il y a eu une concertation entre Bornéo et l’Afrique ou si cette faculté a sommeillé pendant des millions d’années pour surgir en même temps dans les trois vieux continents.

Ces deux versions sont absurdes et fondées sur du vent, car l’homme ne peut descendre d’une race unique. Il est donc absurde de rechercher une race spéciale de singes, car il n’y en a jamais eu. Ce « maillon manquant » dans l’arbre généalogique de l’humanité, que les savants recherchent si fiévreusement pour étayer la théorie de l’évolution naturelle, n’existe que dans leur imagination.*

L’homme provient du croisement entre une race de singes africaine et une race de singes asiatique. Le premier de ces métis avait un père africain et une mère asiatique.

Tous les singes africains hominidés, tels les gorilles et les chimpanzés, ont 13 paires de côtes. Tous les singes asiatiques hominidés, tels les orangs-outans, qui vivent encore de nos  jours, ont 12 paires de côtes.

L’homme possède 12 paires de côtes, mais certains individus viennent au monde avec 13 paires de côtes et certains ont une vertèbre de plus destinée à porter la treizième paire de côtes. C’est une régression atavique, une réapparition de caractères physiques propres à nos ancêtres. Si aucun des ancêtres n’avait eu 13 paires de côtes, cette régression atavique ne pourrait se manifester chez aucun individu.

En général, les races animales apparentées ne se mélangent pas pour de bonnes raisons. Si elles le font, c’est uniquement quand elles y sont forcées par les circonstances. Ce cas de force majeure se produit par exemple lorsque des races animales apparentées sont gardées en captivité et n’ont pas l’occasion de s’accoupler au sein de leur propre race.

On peut retrouver une situation analogue, même s’il n’y a pas captivité. Les animaux quittent souvent leur horde et vivent seuls pendant un certain temps. Quand ils se sont soustraits à l’odeur et à l’influence culturelle de leur horde, ils peuvent se joindre à une nouvelle horde de la même race. Dans ce cas, ils sont adoptés comme nouveaux venus à caractère neutre. Avec un instinct sûr, la horde évite les croisements trop nombreux et se garde de prendre une ampleur excessive.

Mais si ces animaux dispersés, appartenant à des races apparentées, se rencontrent dans un no man’s land, ils peuvent s’accoupler, à condition que la femelle soit en période de fécondation et que les signaux visibles et odorants excitent le mâle de l’autre race.

Le résultat d’un tel accouplement est rarement positif. La plupart du temps, il n’en résulte aucune postérité. Mais si par hasard il y a des descendants, la nature montre alors son caractère fonctionnel et le produit hybride n’est pas apte à se reproduire.

S’il en était autrement, il y aurait une telle quantité de races et de mélanges de races qu’on ne pourrait les distinguer. De plus, les races rapidement formées ne pourraient survivre car elles posséderaient des instincts et des qualités biologiques souvent opposés. Ne pouvant satisfaire les unes par les autres, elles périraient.

On peut accoupler un âne et une jument et le résultat en sera un âne-cheval ou une jument-âne – en langage populaire, un mulet ou petit-mulet. Mais cet animal hybride ne peut se reproduire ; c’est la règle. Mais il y a les exceptions qui confirment la règle.

Dans les anciennes traditions hindoues, égyptiennes et persanes, on parlait déjà de miracles de ce genre où l’invraisemblable était devenu possible. On y décrivait comment le produit d’une jument et d’un âne pouvait se reproduire. Un hybride mâle pouvait féconder une femelle des deux races d’origine et un hybride femelle pouvait être fécondé par un mâle des deux races d’origine.

Il en ressort que dans de très rares cas d’exception, les hybrides peuvent présenter certaines dispositions héréditaires – gènes – qui rendent possible l’invraisemblable et que les gènes spéciaux transmis par voie héréditaire permettent à tous les descendants de se reproduire aussi bien dans la race paternelle que dans la race maternelle.

C’est exactement cet « impossible » qui se produisit lorsque s’accouplèrent un singe africain et une femelle asiatique. Le produit de cet accouplement était une nouvelle créature, de sexe masculin, qui n’appartenait à aucune race. Il était le seul représentant d’une nouvelle race et il fut rejeté comme un étranger, aussi bien par la race paternelle que par la race maternelle. Il était un étranger sur cette terre, évité et délaissé par toutes les races et condamné à vivre en solitaire. Ce mâle moralement torturé ne savait pas qu’il portait en lui ces gènes si rares qui permettent de féconder avec succès le sexe féminin de la race paternelle comme celui de la race maternelle. Cet hybride sans foyer et sans race chercha un jour une femelle mais n’en trouva point. Les femelles de toutes les races de singes le repoussaient et les mâles de toutes les races de singes le pourchassaient.

Ce solitaire finit cependant par trouver une femelle. Il n’y parvint qu’après une lutte sanglante dont il sortit vainqueur. La victime battue à mort était un singe mâle qui défendait sa horde et ses femelles et voulait chasser l’intrus.

 

l'hominidé

Ayant obtenu sa femelle en commettant un meurtre dans la race d’origine et ne pouvant s’enfuir avec cette femelle, car il était encerclé et menacé de tous côtés par la horde offensée, le vainqueur dut consommer sa victime défunte pour apaiser la faim qui le torturait. Le mâle et la femelle s’aperçurent alors pour la première fois que la cervelle procure une excitation sexuelle et ceci beaucoup plus que les plantes, que les singes consommaient déjà à cet effet. Par la suite, ils constatèrent que cette drogue exerçait sur leurs facultés mentales un effet durable ; ils pensaient mieux.

=> J’avoue que j’ai beaucoup de mal à croire à cette explication. On se demande comment les membres de la horde ont pu laisser se commettre un tel acte, alors qu’ils les encerclaient et les menaçaient de tous côtés (dixit l’auteur). Un tel comportement ne s’observe pas chez les animaux, même chez les carnivores.

Ce fut le premier couple humain, les premiers cannibales. Et il se révéla bientôt que dans ce cas aussi l’« impossible » était possible, car des enfants naquirent de cette union forcée.

C’est ainsi qu’il y eut une nouvelle race de singes hominidés apte à se mélanger aussi bien avec la race paternelle qu’avec la race maternelle. Malgré cette possibilité, aucune des deux races originelles n’était disposée à se mêler volontairement à des singes qui avaient un autre aspect et étaient, en somme, sur terre, des nouveaux venus et des étrangers. Aucune race de singes n’aime en effet se mélanger volontairement à d’autres races.

Pour ces petits groupes des premiers hommes, cela n’empêcha pas la reproduction. Dans chaque race de singes il y a des unions consanguines, car les pères fécondent leurs filles, ou les enfants se fécondent mutuellement.

Ce qu’il y avait de particulier dans la reproduction de cette petite race nouvelle, ce n’était pas l’union consanguine. Victime d’un désir sexuel accru, la race augmenta ses impulsions sexuelles par la consommation de cerveau, c’est-à-dire par le cannibalisme. Mais comme cette consommation signifie la mort d’un individu, ceux-ci ne purent pratiquer dans les premiers temps le cannibalisme au sein de leur propre race ; sinon, ils se seraient détruits eux-mêmes dans les plus brefs délais.

Il y avait assez de cerveaux à leur disposition, et ceci dans les races originelles. La chasse aux cerveaux était donc menée contre ces races. Naturellement, l’attaque concernait toujours les mâles et la horde attaquée était défendue au premier chef par ses membres mâles. Quand il y avait des victimes, c’étaient donc la plupart du temps des combattants mâles.

Pour les hommes-singes cannibales passant à l’attaque, toute victime était bonne à prendre, qu’elle vienne d’une race d’origine agressée ou des races cannibales agressives. Car le cerveau était toujours du cerveau, et au début les cerveaux des deux races étaient aussi prisés que ce soit pour augmenter les forces sexuelles que pour accroître l’intelligence.

Les femelles de la race originelle attaquée survivaient en général à ces combats et étaient livrées sans défense aux singes cannibales mâles. Ceux-ci s’emparaient d’elles par la force et les fécondaient. Les cannibales mâles étaient si excités sexuellement par la consommation constance de cerveau qu’ils pouvaient s’accoupler avec les femelles des singes vaincus, même quand ces dernières ne présentaient pas les traces visibles et odorantes prouvant qu’elles étaient en période de fécondité.

Cette nouvelle race hybride cannibale – l’homme – se reproduisit donc par union forcée avec les femelles des races originelles vaincues. Les descendants de ces unions étaient également des hybrides, en d’autres mots des hommes. Ce fut le processus de la conversion biologique du singe à l’homme : transmission et propagation des gènes spécifiques de la race hybride des hommes.

Comme la race paternelle originelle différait entièrement par son physique de la race maternelle et comme les hybrides pouvaient se mélanger avec les deux races originelles et entre eux, il devait en résulter au moins deux types d’hommes d’aspect différent. Mais ni la race originelle africaine ni la race asiatique n’étaient des races homogènes ; elles étaient divisées en différentes espèces et sous-espèces. Même les gorilles, chimpanzés et orangs-outangs vivant actuellement ont des sous-espèces de morphologies différentes. Il y a des petits et des grands, des noirs, des bruns et des très clairs.

La nouvelle race humaine cannibale pouvait se mélanger par la force avec toutes les espèces des races originelles et procréer des descendants. Et plus les sous-espèces de la race paternelle et de la race maternelle se rapprochaient des hommes cannibales, plus il était facile d’incorporer à la nouvelle race des singes hominidés n’ayant qu’une parenté lointaine. Cette possibilité s’étendit à la plupart des races de singes hominidés.

Il est donc certain que les orangs-outangs, les chimpanzés et les gorilles ont été assimilés également au tronc primitif de l’humanité. 

*C'est moi qui souligne, car je suis parfaitement d'accord avec l'auteur. Les humains sont issus de plusieurs espèces de singes, d'où les diverses races au sein de la population humaine.

Ibid

À suivre Genèse

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