Canalblog
Editer l'article Suivre ce blog Administration + Créer mon blog
Publicité
Les voies de l'étrange et du mystérieux
Les voies de l'étrange et du mystérieux
  • Ce site se propose de rapporter des histoires mystérieuses et peu connues. Car bien souvent, le paranormal est là où on ne l'attend pas. Il évoque aussi certaines énigmes, en les abordant sous un angle inédit.
  • Accueil du blog
  • Créer un blog avec CanalBlog
Publicité
Archives
Derniers commentaires
Les voies de l'étrange et du mystérieux
Newsletter
Pages
13 avril 2018

La fontaine de dégénérescence

Un mythe nord-américain des plus mystérieux est la quête de Ponce de Leon de la fontaine de Jouvence. De nos jours, les scientifiques sont à la recherche de gênes qui pourraient prolonger la vie humaine jusqu’à atteindre 150 ans ou plus. La découverte de Doug Kilmartin fut exactement l’inverse. Rien moins qu’une fontaine de vieillesse et de dégénérescence.

Source: Externe

Une fine volute de fumée blanche tournoie au-dessus des cendres d’un feu de camp prêt de s’éteindre. Les gardes forestiers Beverly Damico et Ted Larkin piétinent les cendres de leurs pieds. L’endroit parait désert. Larkin demande à Damico si on a donné l’autorisation pour tirer dans cette zone, et Damico répond que non. Juste à ce moment, quelqu’un surgit de derrière les arbres.

- Aidez-moi, s’il vous plait, aidez-moi ! crie-t-il. Là-bas dans les bois. Tout est mort. Une zone morte ! Nous y sommes allés et…

- Du calme, dit Larkin. Est-ce que c’est votre campement ?

- Oui. Nous plantons des arbres. Nous sommes trois. Nous sommes étudiants et…

- D’accord, Monsieur, une chose à la fois, dit Larkin. Nous avons trouvé un feu de camp ici. C’est non et non. Je veux voir vos papiers et votre autorisation de campement.

Intrigué, l’homme acquiesce, et sort son portefeuille. Larkin le prend tandis que Damico apporte de l’eau à cet homme.

- Vous êtes Douglas Kilmartin ? demande Larkin, tout en vérifiant le permis de conduire.

- Oui.

- Votre C.N.I. nous dit que vous avez 21 ans.

Kilmartin lève doucement les mains devant lui. Elles sont frêles et ridées. Choqué, il laisse tomber le gobelet d’eau et oriente le rétroviseur latéral de l’ATV pour pouvoir se regarder : 

- Oh non ! Que m’est-il arrivé ? 

Environ deux heures plus tard, Larkin et quelques autres gardes marchent à travers les buissons.

- Je l’ai trouvé ! Par ici ! dit Damico.

Damico tient dans ses mains la tête d’un deuxième homme, qui a l’air d’avoir 70 ans. Ses vêtements sont en lambeaux et il est tout égratigné, à peine conscient.

- C’est le gars que Kilmartin nous a décrit. Barry Strother d’après sa C.N.I. Lui aussi a 21 ans, dit Damico.

Le lendemain, le directeur Connor Doyle  parle au micro de son magnétophone dans le parking de l'hôpital Sainte Agatha :

- Après avoir été contactés par la police du comté, nous déclenchons une enquête sur une supposée anomalie. Deux hommes déclarent avoir vieilli de près de 50 ans après s’être aventurés dans une étendue sauvage du nord du Canada. Il y a une zone où, de façon inexplicable, rien ne pousse.

Beverley Damico parle aux enquêteurs :

- Quand nous avons emmené Kilmartin à l’hôpital, il était hystérique. Il dit qu’il y a encore quelqu’une. Qu’ils ont trouvé un endroit dans les bois, où rien ne pousse, une zone morte. Et il croit qu’elle y est toujours.

Ted Larkin, lui aussi garde forestier, apporte des précisions :

- Et c’est là que ça devient vraiment bizarre. Comme tout cela n’avait aucun sens, nous avons fait vérifier leur identité, et il se trouve que le second type que nous avons trouvé, Strother, a eu un petit problème avec la loi quand il était plus jeune. Une entrée par effraction quelques années plus tôt lorsqu’il avait 16 ans. Et ce type a l’air d’en avoir 70. Mais il y a plus, ses empreintes. Elles correspondent exactement à celles figurant dans son casier judiciaire.

Les enquêteurs s’entretiennent aussi avec le docteur Martin Dornan, qui a examiné les deux hommes :

- Ils étaient tous les deux en état de choc. Kilmartin, pour un homme de 70 ans, se porte plutôt bien. Je n’en dirais pas autant de Strother. Mais pour des hommes qui affirment qu’ils ont 21 ans, c’est qu’il y a un problème.

Plus tard dans l’après-midi, Doyle guide la psychobiologiste Lindsay Donner et le physicien-statisticien Peter Axon le long d’un sentier. Donner écoute à travers son casque :

- La police du comté dit qu’il n’y a toujours aucun signe de la femme disparue, une Katherine Fitzgerald, dit-il.

- Dans quel état sont les deux sujets ? demande Axon.

- L’état de Kilmartin s’est stabilisé ; nous pourrons donc l’interroger cet après-midi, répond Doyle. Mais Strother est tantôt conscient, tantôt inconscient. Et pour tout dire, nous n’avons d’autre choix que de le traiter comme un vieil homme. L’âge physiologique de Kilmartin est d’environ 70 ans, et de 85 ans pour Strother.

L’équipe arrête de marcher car tout le monde peut voir une étendue sablonneuse, inhabituelle au milieu de la forêt. Axon fait passer à Doyle des photos prises depuis l’hélicoptère.

- C’est de forme ovale, et couvre à peu près 8 000 mètres carrés. La désolation au beau milieu d’une forêt pleine de vie, dit Doyle.

Deux enquêteurs d’OSIR en combinaison Hazmat se déplacent précautionneusement tout autour de la zone en prenant des mesures. Axon s’accroupit à la lisière de la zone morte. Il sort un appareil photo et prend quelques clichés.

Un oiseau vient de pénétrer dans la zone et se met à se mouvoir dans son périmètre. Il disparaît derrière une dune. Intrigués, Axon et plusieurs enquêteurs poursuivent leur progression de façon à avoir une meilleure vue de l’oiseau. Ils aperçoivent son squelette sur cette terre sans vie.

Plus tard, à l’intérieur du laboratoire mobile, son squelette apparaît sur les écrans. Doyle regarde la vidéocassette avec Axon, le psychiatre Anton Hendricks et Donner, qui chronomètre la scène avec son appareil.
- Seulement 12,3 secondes à partir du moment où il pénètre jusqu’à la découverte du squelette, précise Donner.

Les photographies aériennes révèlent un terrain aride au centre d’une forêt luxuriante. On peut voir les maigres restes de ce qui fut un squelette humain.

Source: Externe

Le lendemain, Hendricks interroge Kilmartin, dont le corps est relié par des électrodes à un appareil en vue d’un examen.

- Doug, commençons par la journée du mardi.

- Moi, Barry et Katie sommes arrivés par avion avec un tas de semis à planter. Nous avons donc installé notre campement, et commencé à travailler après le petit déjeuner.

- Et qu’est-il arrivé ensuite ?

- Je ne sais plus. Nous semions, et nous sommes arrivés à cet endroit. La zone morte. Je crois que j’ai marché à l’intérieur, mais…

- Y êtes-vous tous allés ?

- Non, je veux dire… Je suis désolé. C’est si dur de se concentrer ces jours-ci, vous savez.
- Ne vous en faites pas, Doug. Nous essaierons plus tard.

Téléguidée par l’unité de contrôle du labo, la sonde terrestre s’approche d’un squelette dans la forêt.

- Avec un peu de chance, le fichier dentaire devrait nous donner une identité, annonce Doyle.

Le lendemain, l’équipe des enquêteurs observe les agrandissements des permis de conduire de Douglas Kilmartin, Barry Strother et Katherine Fitzgerald sur l’écran principal.

- Le squelette est celui de Katherine Fitzgerald, âgée de 21 ans. Cause de la mort inconnue, dit Doyle.

- Nous avons éliminé plusieurs explications évidentes à cause du manque de végétation. Aucune trace de radiation autour de la zone. Le site lui-même n’a pas été contaminé par des substances toxiques, dit Axon.

- Kilmartin se souvient fort bien de tout ce qui est arrivé jusqu’à ce que survienne cette anomalie. Après, c’est presque le trou noir. Cela est conséquent avec le refoulement d’une expérience traumatisante, dit Hendricks.

- Pourrait-il y avoir une explication médicale plus terre à terre, telle que la progéria, le vieillissement accéléré ? s’enquiert Doyle.

- Pas dans ce cas, répond Hendricks. C’est un dysfonctionnement génétique extrêmement rare qui se manifeste invariablement dans la petite enfance.

- Continuons à creuser, dit Doyle.

Hendricks rapporte que Kilmartin répond favorablement au soutien psychologique.

Donner peut voir Sarah Kilmartin s’avancer vers le bureau des infirmières et demander à voir son fils.

Donner se présente. Sarah se tient dans l’encadrement de la porte, le visage impassible. Donner est derrière elle. A travers la pièce, Kilmartin essaie de sourire.

- Maman, tu es venue, dit-il.

- Je ne connais pas cet homme, dit Sarah. Ce n’est pas mon fils. Regardez-le. Elle se retourne pour partir et Kilmartin lui rappelle le jour où Gypsie a volé le saumon du Vieil Homme Telford. Sarah s’arrête net, horrifiée.

Le lendemain, Hendricks s’assoit en face de Kilmartin, qui est déjà sous hypnose.

- Revenons à mardi matin, dit Hendricks.

- Je sème dans les bois. Barry et Katie sont plus loin devant, se souvient Kilmartin, revoyant Strother et Fitzgerald s’avancer dans les sous-bois.

- Que voyez-vous ?

Tout en marchant dans une clairière, Kilmartin revoit Katie pénétrer dans une zone dénuée de végétation.
- Les gars, il faut examiner cet endroit, dit-elle.

- Katie est-elle dans la zone ? demande Hendricks.

- Oui. Elle veut que nous la suivions, mais j’hésite. C’est vraiment flippant. Ils rigolent, comme si j’étais paranoïaque. Alors j’y vais.

Les jeunes Kilmartin et Strother avancent lentement. Katie se tourne vers le jeune Strother. A sa vue, il s’arrête net : elle est en train de vieillir sous ses yeux. Le jeune Strother tente de dissimuler son trouble. C’est alors qu’un élancement dans le dos lui arrache une grimace. Se tenant le bas du dos avec une main, il se retourne, et voilà que lui aussi se met à vieillir.

Katie fait face aux deux garçons. Kilmartin et Strother s’éloignent promptement d’elle, pendant qu’elle se transforme rapidement en un corps en décomposition, puis en squelette. Strother se tourne horrifié vers Kilmartin.

- Sortons d’ici ! hurle ce dernier.

Les deux vieillards essaient de quitter la zone. Ils arrivent près des arbres. Strother tombe à genoux, épuisé. Kilmartin continue de courir.

Plus tard dans la journée, la sonde terrestre parcourt la zone située dans la forêt.

Les enquêteurs surveillent sa progression à distance, et Doyle parle dans le micro :

- Mise à jour. Nous nous livrons à une analyse environnementale, en plus de la surveillance, dans le but de définir la nature exacte du phénomène, ainsi que ses caractéristiques. Qui plus est, notre équipe médicale essaie d’élaborer un traitement en vue d’inverser ses effets. 

À l’hôpital, une infirmière prélève du sang du doigt de Strother. On apporte cet échantillon au laboratoire mobile, où un technicien en verse sur une lamelle pour le mettre au microscope.

- Je viens de visionner certains des premiers entretiens, dit Donner, qui se trouve aussi au labo. Elle sort une vidéocassette où figure celui du chef Dan Leonard, un Amérindien âgé d’une trentaine d’années.
- Je me souviens d’avoir entendu ces histoires, quand j’étais gosse. Des rumeurs à propos d’un endroit où rien ne vit, dit-il.

- Est-ce que certaines de ces histoires parlent de gens qui y sont allés et qui sont revenus ? demande Donner.
- Non. Juste beaucoup d’histoires à propos de membres de notre tribu qui ont tout bonnement disparu. Des légendes disent que certains d’entre eux ont été mangés par des bêtes sauvages. Quelques-uns sont tombés dans des rivières en furie et se sont noyés. Ecoutez, j’ai vécu ici toute ma vie et je n’ai jamais vu cette prétendue zone morte.

Plus tard, Doyle, Axon, Donner et Hendricks sont réunis au labo.

- Voilà ce que nous savons déjà, dit Axon. Horizontalement, cette zone couvre une superficie d’à peine moins de 8 km2. Nous l’avons cartographiée par hélicoptère et avons marqué la hauteur à laquelle la désintégration a commencé.

- C’est elliptique, ce qui pourrait suggérer que le phénomène suit une courbe énergétique, dit Donner.
- Mais la configuration est instable. Nous voyons de légères fluctuations, dit Axon.

- Pourquoi ne pas relever ces fluctuations pendant quelques heures ? demande Donner.

Doyle lève la main, tendant l’oreille vers l’écouteur :

- L’hôpital vient de nous contacter. C’est Strother.

À l’hôpital, Strother est couché sur le dos, les yeux écarquillés, et inerte. Le Dr Dornan vérifie le pouls. Hendricks est derrière lui, ainsi que Kilmartin, tout tremblant et désemparé. Le Dr Dornan lève les yeux et secoue la tête. Strother est mort.

Deux poteaux métalliques ont été plantés dans le sable de chaque côté de la zone. Un arc électrique de couleur bleutée s’étend d’un poteau à l’autre.

Doyle entre dans le journal de bord : « 22 heures. Nous avons introduit toutes sortes d’instruments au sein de cet environnement aux fins de provoquer une réaction notable. Aucune de ces tentatives n’a pu fournir un résultat probant. Après avoir mené 87 expériences, j’estime que nous avons épuisé toutes les méthodes susceptibles de nous apporter une explication scientifique. »

L’équipe est réunie pour une table ronde dans le labo mobile, où la zone est visible sur l’écran.

- Ce pourrait être un phénomène extraterrestre. C’est pourquoi il ne réagit pas à une technologie terrestre, dit Donner.

- Ou bien ce pourrait être un phénomène géophysique, non étudié jusqu’ici, qui sur le plan subatomique, accélère toutes les formes de vie, dit Axon. Ce pourrait être une forme rare et mutante d’un vortex qui absorbe l’énergie contenue dans les êtres vivants. Cela s’accorderait avec les résultats des évaluations physiologiques.

Le lendemain, un enquêteur de l’OSIR charge des sacs dans le coffre d’une voiture en stationnement devant l’hôpital. Hendricks s’approche de la voiture, dans laquelle Kilmartin est assis sur le siège passager à côté de Sarah. 

- Prenez soin de vous. Nous vous recontacterons, dit Hendricks.

Kilmartin acquiesce, avec un  sourire forcé.

Tandis que Doyle et Donner regardent partir Kilmartin, une communication du quartier général d’OSIR se fait entendre dans les écouteurs de Doyle, et ils regagnent le labo mobile.

Elsinger apparaît sur l’écran, et s’adresse à Doyle :

- Des membres du gouvernement nous ont demandé de solutionner ce problème en interdisant de façon définitive l’accès à cette zone à risques. A l’efficacité immédiate.

- Mais, Monsieur, nous commençons tout juste à avancer dans la compréhension du phénomène, réplique Doyle. Nous avons besoin de savoir exactement de quoi il s’agit.

Le directeur de l’OSIR Frank Elsinger dit qu’il est désolé, et qu’il n’y a pas à discuter cet ordre. L’écran s’éteint. Doyle écrit une dernière fois dans le journal de bord :

« À la suite de consultations avec les quartiers généraux, les autorités gouvernementales et l’équipe responsable, il a été décidé de construire une cage gigantesque, en barreaux métalliques, pour couvrir toute la zone à risques. Une fois la cage descendue, par hélicoptère, à l’endroit même, on coulera du béton par-dessus, jusqu’à ce qu’un bloc massif de pierre solide prenne forme. »

Épilogue

Anomalie géophysique, manifestation paranormale, ou force extraterrestre ? La réponse se trouve cachée pour toujours sous une voûte de béton, et n’est plus une menace. Aux dernières nouvelles, Kilmartin était employé dans une cellule de crise, apportant son soutien aux victimes de traumatismes et vivant pleinement chaque jour.

Dan Ackroyd

Psi Factor (Chronicles of the Paranormal), edited by Dan Ackroyd

 
N. de la T*. : Cette histoire est authentique. Je me souviens d’un documentaire, en plusieurs parties, diffusé sur France 5 il y a quelques années, et qui s’intitulait « Les plus belles baies du monde ». La partie se rapportant à la baie de Madagascar m’avait frappée : à l’autre bout de la baie, on pouvait voir une forêt, sertie dans un décor magnifique, et on n’avait plus qu’une envie, celle de se rendre sur les lieux afin de profiter de cette nature enchanteresse. Mais les habitants mettaient en garde les visiteurs étrangers. Tous ceux qui y étaient allés n’étaient pas revenus. Les derniers à en avoir fait les frais (à l’époque où le documentaire a été tourné, au début des années 2000) étaient deux touristes nord-américains. Malgré les avertissements donnés par les autochtones, ils y sont quand même allés, et depuis, on ne les a plus jamais revus…

Se pourrait-il qu’il y ait dans cette forêt une zone comparable, qui fait vieillir les êtres vivants en quelques minutes, et le temps que les touristes imprudents se rendent compte, il est trop tard, car ils meurent sur place à cause du vieillissement accéléré ?

Et comme on a pu le voir avec Katherine Fitzgerald, la putréfaction du corps et la désintégration du squelette se produisant à une vitesse accélérée, il ne suffit que de quelques heures pour effacer toute trace des malchanceux…

*Moi-même.

Publicité
Publicité
Commentaires
G
Tchernobyl n'est pas totalement recouvert.<br /> <br /> Il y a des animaux qui vivent dans le voisinage, il semble que Dame Nature ait repris ses droits.
Répondre
G
Ce qui est bizarre, c'est que cette zone mortelle, et aride, se trouve au beau milieu d'une forêt luxuriante... ce qui, normalement, ne devrait pas être le cas. <br /> <br /> Parce que... quand il pleut... eh bien il n'y a pas de raisons pour que cette zone ne soit pas touchée... On peut le voir dans le désert, lorsque, tous les 10 ans en moyenne, la pluie venant des nuages, emportés par le vent marin, l'arrose. Presque instantanément l'herbe surgit du sol, bientôt rejointe par des fleurs.<br /> <br /> Alors ???<br /> <br /> L'énergie électromagnétique, qui a permis à la vie d'éclore sur notre planète, et de s'y maintenir, doit être particulièrement intense à cet endroit, et modulée à une certaine fréquence qui la rend létale. Ce qui expliquerait ce terrain aride...<br /> <br /> Mais pourquoi cette énergie vitale est-elle devenue à ce point nocive, provoquant des radiations à côté desquelles celles provoquées par les bombes larguées sur Hiroshima et Nagasaki sont bien faibles, en comparaison...<br /> <br /> Si des scientifiques avaient fait des expériences, ils en auraient subi les effets... et on en aurait eu connaissance beaucoup plus tôt. Et n'oublions pas que selon toute vraisemblance, cela ne date pas d'hier, puisque les Amérindiens en parlent depuis des générations, bien avant l'arrivée des Européens.<br /> <br /> Il est difficile d'apporter une explication naturelle à un tel phénomène, surtout si on prend en compte que cette zone se situe pile au milieu de la forêt...<br /> <br /> Car, de l'extérieur, c'est une véritable tentation. D'abord, pour les chasseurs (eh oui), ensuite pour les non chasseurs, ceux qui veulent se promener, cueillir des baies...<br /> <br /> En tout cas, cela explique les disparitions mystérieuses...
Répondre
J
C'est toujours très frustrant de rester sur sa faim, avec ce genre de faits inexpliqués c'est hélas inévitable. En tout cas, c'est une histoire palpitante qui nous remet tranquillement à notre place (nous ne savons quasiment rien et sommes bien fragiles face aux éléments, aux événements, aux gouvernements, etc. en fin de compte). Plutôt que d'essayer de comprendre, les hautes autorités camouflent la chose. Il n'y a que deux explications possibles,me semble t-il. Soit ils savent et sont responsables du phénomène. Soit ils veulent protéger la population (j'en doute). Le problème, c'est que, si j'ai bien compris, le phénomène est très ancien. Ça met à mal ma première hypothèse du coup. <br /> <br /> <br /> <br /> Bizarre, bizarre !<br /> <br /> <br /> <br /> Et, pendant ce temps, le transhumanisme, lui, galope, galope, ...
Répondre
Publicité