Johnson & Johnson suspendu
Pourquoi le vaccin de Johnson & Johnson
a-t-il été suspendu aux États-Unis ?
Les autorités sanitaires américaines ont recommandé « une pause » dans l’utilisation du vaccin Johnson & Johson aux États-Unis après l’apparition de cas graves de caillots sanguins.
Un mois et demi après avoir été approuvé aux États-Unis, les autorités sanitaires américaines ont recommandé mardi « une pause » dans l’utilisation du vaccin anti-Covid produit par Johnson & Johnson afin d’enquêter sur des cas graves de caillots sanguins chez plusieurs personnes. Quelques heures après, le groupe pharmaceutique américain a indiqué qu’il avait « pris la décision de retarder le déploiement » de son vaccin en Europe, en attendant les conclusions des autorités sanitaires.
Pourquoi le vaccin a-t-il été suspendu ?
L’utilisation du vaccin a été mise en pause après « six cas rapportés aux États-Unis de personnes ayant développé des cas rares et graves de caillots sanguins après avoir reçu le vaccin », a indiqué l’Agence américaine des médicaments (FDA), qui a ouvert une enquête mardi. « Un cas s’est révélé mortel et un patient se trouve dans un état critique », a précisé un responsable. Au total, plus de 6,8 millions de doses ont été injectées aux États-Unis.
Dans les cas rapportés, les scientifiques ont observé une thrombose veineuse cérébrale, très inhabituelle, c’est-à-dire l’obstruction par un caillot d’un ou plusieurs sinus veineux cérébraux, a souligné l’institution. Ces thromboses s’accompagnent d’une chute du niveau de plaquettes sanguines, les cellules qui aident le sang à coaguler et peuvent provoquer des hémorragies en plus des caillots sanguins, ont averti les autorités sanitaires américaines, qui préconisent un traitement alternatif.
Comment peut-on expliquer ces thromboses ?
Même si rien n’est encore prouvé, il est de plus en plus vraisemblable que ces problèmes sanguins soient liés à la technique sur laquelle est basé ce vaccin. Comme celui d’AstraZeneca, le vaccin Johnson & Johnson est un vaccin dit à « vecteur viral » : on prend comme support un autre virus, qu’on modifie afin qu’il transporte dans l’organisme des informations génétiques permettant de combattre le Covid.
Ces deux vaccins utilisent comme support un type de virus très courant, appelé adénovirus. AstraZeneca a opté pour un adénovirus de chimpanzé, Johnson & Johnson pour un adénovirus humain. Le fait que des problèmes similaires aient été observés avec ces sérums pourrait laisser penser « que c’est lié au vecteur adénovirus », a déclaré sur Twitter Mathieu Molimard, spécialiste français de pharmacologie. En effet, « ces cas n’existent pas à ce jour avec les vaccins ARN », ceux de Pfizer/BioNTech et Moderna, qui utilisent une autre technique, l’ARN messager.
Publié sur msn le 14 avril 2021, d'après un article de 20 minutes
Partant de là, on peut se poser la question : pourquoi aller chercher un virus (de rhume) de chimpanzé ou un autre, humain celui-là et très courant (celui de la grippe ?) pour mettre au point un vaccin ???
Il aurait été plus simple, et plus logique, d'utiliser le virus du... covid-19 !
Eh bien, non ! Et la réponse est évidente : le virus du "covid-19" n'existe pas ! Comme je l'ai déjà dit, il n'y a pas de pandémie, et ce "covid-19" est un virus fantôme.
Des scientifiques dignes de ce nom, c'est-à-dire non rémunérés par Big Pharma, ont reconnu n'avoir pas pu isoler ce virus. Depuis plus d'un an que dure toute cette comédie, on est quand même surpris...
Les cas estampillés "covid-19" ne sont que des maladies respiratoires virales saisonnières, comme il y en a chaque hiver : bronchiolite (pour les enfants de moins de 2 ans), bronchite, pneumonie, pneumopathie, et bronchopneumopathie pour les cas les plus graves (parfois mortels).
Ces maladies ont toujours accompagné l'humanité, et l'OMS, qui avait raté son coup en 2009 avec la grippe "H1N1", a remis le couvert en 2020, en profitant du grand nombre de coronavirus.