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Les voies de l'étrange et du mystérieux
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  • Ce site se propose de rapporter des histoires mystérieuses et peu connues. Car bien souvent, le paranormal est là où on ne l'attend pas. Il évoque aussi certaines énigmes, en les abordant sous un angle inédit.
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Les voies de l'étrange et du mystérieux
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3 mai 2021

Pine Gap ? L’enfer sous nos pieds !

Gouvernement mondial

« Les États-Unis disposent de trois grandes bases en Australie : une dans l’État de l’Australie méridionale (South Australia), une dans la Nouvelle-Galles du Sud et la troisième, de loin la plus importante, située presque exactement au centre géographique du pays (à 12 km près), un peu à l’ouest d’Alice Springs, au pied du versant sud de la Mac Donnell Range (chaîne de montagnes). Cette base est entièrement souterraine et ses entrées sont à peine visibles à la surface du sol ; intégralement financée par le gouvernement américain, elle est officiellement connue sous le nom de JOINT DEFENCE SPACE RESEARCH FACILITY. À l’origine, son but était la recherche scientifique pour le développement d’une technologie de défense spatiale. On sait maintenant que, depuis sa création, cette base a surtout servi à l’étude de la propulsion électromagnétique.

Qu’est-ce que Pine Gap exactement ? Aussi étrange que cela puisse paraître, les membres du Parlement fédéral australien n’en savent rien eux-mêmes ! Seul un très petit nombre d’initiés, parmi les ministres, a une idée approximative de ce dont il s’agit. La seule source d’information du public est le recoupement établi par les chercheurs, à la suite de déclarations faites aux USA par les dirigeants, de petits articles publiés dans les magazines américains ou australiens (toujours très courts ou laconiques) et de ce que la population locale a pu remarquer d’insolite.

[…]

« Des ordinateurs d’une capacité incroyable font aussi partie de l’équipement de cette termitière géante ; ils sont reliés aux ordinateurs centraux américains et australiens qui collectent tous les renseignements obtenus dans ces pays, non seulement concernant la technologie, mais encore tout ce qui concerne tous les citoyens ordinaires. Ces ordinateurs de Pine Gap sont également reliés à ceux de Guam, de Krugersdorp en Afrique du Sud et ceux de la base US de l’Antarctique. Mentionnons en passant que les membres du personnel de la base de Krudersdorp (plus de 1 200 personnes) prétendent tous appartenir à la mission consulaire US de ce pays. Il est aussi intéressant de noter que la base US du pôle sud se trouve à un des points magnétiques sensibles de notre globe, et qu’elle offre exactement les mêmes facilités que la base de Pine Gap. Tous les renseignements concernant la plupart des Européens moyens y sont également en mémoire dans les ordinateurs situés à des dizaines de mètres sous la glace.

« L’importance de cette base polaire pour le monde anglophone explique peut-être la déclaration faite par le Premier ministre australien, vers 1987, selon lequel « la France doit disparaître du Pacifique, des Kerguelen et de l’Antarctique* ». Le fait peut-être le plus inquiétant concernant Pine Gap est que le personnel admis à travailler dans cette base – et surtout celui destiné au projet EMP ou propulsion électromagnétique – a subi un conditionnement psychique et la pose d’implants crâniens. Ces employés sont donc devenus les serviteurs inconditionnels du maître, quel qu’il soit. Un peu terrifiant, non ? Le but véritable du conditionnement psychique de ces individus et l’acharnement avec lequel on tente de protéger le secret des progrès réalisés en technologie militaire, industrielle et spatiale, deviendront évidents à la fin de mon exposé. »

*Il est significatif que l’Élysée n’ait pas réagi à cette déclaration. JG.

« Pour moi, poursuit Lucien Cometta (un Français vivant en Australie), tout a commencé avec la construction du nouveau Parliament Building (Palais du Parlement) de Canberra, qui a coûté un nombre impressionnant de milliards de dollars. L’Australie ne compte encore que 18 millions d’habitants et elle se paie un bâtiment bien au-dessus de ses moyens pour abriter son gouvernement, alors que l’ancien convenait parfaitement. Ce nouvel édifice, énorme, vaste et somptueux, pourrait aisément convenir à l’URSS (écrit avant la naissance de la CEI, JG) ou aux États-Unis, qui ont des centaines de millions de ressortissants à gouverner. Ce bâtiment m’intriguait ; j’en parlai autour de moi, jusqu’au jour où je rencontrai un Anglais qui m’apprit que Bob Hawk, le Premier ministre, était un Rhode scholar**.

**Boursier de la Fondation Cecil Rhodes. Ces bourses se répartissent entre étudiants du Commonwealth britannique, des États-Unis et de l’Allemagne ; elles comportent trois années d’études à Oxford… et donnent naissance à des sortes de sociétés secrètes estudiantines qui, plus tard, exerceront leur influence dans les sphères les plus élevées qui régentent le monde.

Australie

« Il travaillait donc à l’établissement d’un gouvernement mondial et ce nouveau parlement avait sans doute un rapport avec la chose. Je ne voyais pas trop ce que cet Anglais voulait dire, mais je n’insistai pas. À quelque temps de là, je tombai sur un pamphlet édité par la Human Rights Organisation. Cette brochure parlait d’un groupe d’une centaine de personnes judicieusement placées dans la haute finance, la politique, la fonction publique et le milieu des affaires, qui avait formé le « club de Rome ». D’après le pamphlet, ce dernier était inféodé à un consortium qui tient en main toute la haute finance internationale. [La Commission Trilatérale, JG] Bon nombre d’autres groupes identiques au « club de Rome », affirme la Human Rights Organisation, sont également inféodés à ce consortium financier et s’infiltrent dans les différents partis politiques [via le CFR ou Council on Foreign Relations, Conseil des Relations Étrangères, présidé par David Rockefeller], et mouvements religieux, afin de les noyauter et d’avancer lentement vers l’instauration d’une dictature planétaire.

« La chose me semblait un peu trop grosse pour être vraie, confie Lucien Cometta. Cependant, l’un de mes amis me donna une cassette audio, enregistrée lors d’une conférence de Peter Sawyer, ancien haut fonctionnaire australien, qui révélait un certain nombre de faits constatés pendant qu’il était en fonction. Il évoquait notamment un central téléphonique édifié à Canberra, appelé Deacon Center. Ce centre, construit en béton, possède des murs d’1,20 m d’épaisseur et a coûté des centaines de millions de dollars. En plus du matériel téléphonique, il est équipé de nombreux ordinateurs sur 4 étages, ordinateurs dont le coût dépasse 150 millions de dollars. Cherchant à savoir pourquoi un tel équipement était nécessaire dans la capitale d’un pays qui ne compte que 18 millions d’habitants, Peter Sawyer découvrit que ces ordinateurs étaient reliés à toutes les banques, tous les bureaux de postes, tous les centraux téléphoniques, toutes les machines utilisant les cartes plastiques distributrices d’argent, tous les postes de police et de douane, les bureaux d’arrivée et de départ d’avions, de bateaux et surtout aux autres centres de collecte de renseignements sur les particuliers, aux États-Unis et en Europe.

« Cet édifice de Deacon Street est donc une centrale où aboutissent les informations concernant tous les citoyens du monde occidental ; où tous les renseignements financiers, économiques, politiques et militaires de tous les pays de l’Occident convergent, ainsi que les renseignements relatifs à tous les ressortissants de ces pays. Bien entendu, tous les résidents en Australie y sont fichés, suivis, catalogués. Toutes les dépenses de tous les Australiens, leurs revenus, leurs déplacements, leurs maladies et leur comportement familial sont mis en mémoire au Deacon Center de Canberra, où s’accumulent aussi les mêmes renseignements concernant les habitants des pays occidentaux. Peter Sawyer a également découvert que David Rockefeller, président de la Fondation Rockefeller, avait effectué un séjour prolongé en Australie, pour superviser personnellement la construction de 20 résidences de luxe (payées par le gouvernement australien) dans le site magnifique d’un parc national où, en principe, personne n’a le droit de construire !

« Les enquêtes de cet ex-haut fonctionnaire ont permis d’établir que, d’une part, les nouveaux bâtiments du gouvernement australien sont en fait destinés à abriter le futur gouvernement mondial, et que les 20 résidences de luxe seront affectées aux différents membres étrangers, dont des Européens de ce gouvernement… Pourquoi avoir choisi Canberra comme siège du gouvernement mondial ? Simplement parce que l’Australie est un pays calme, avec très peu d’autochtones pouvant devenir récalcitrants et, surtout, un pays dont la langue est l’anglais [rappel : ce « petit » continent sera notamment épargné par l’âge glaciaire qui succèdera très probablement à l’actuel réchauffement temporaire de l’atmosphère par effet de serre, JG]. Aucun autre pays de langue anglaise n’offre la sécurité que peut offrir l’Australie, lors de l’instauration du gouvernement mondial. En Amérique ou en Europe, des soulèvements sont plus que probables, et l’Amérique latine non seulement n’est pas anglophone, mais encore son penchant pour les révolutions et les troubles sociaux n’est pas nouveau. L’Australie est donc bien l’endroit idéal pour une telle entreprise. Mais comment l’avènement d’un gouvernement mondial pourrait-il être possible dans un avenir proche ? La chose est relativement simple, voici pourquoi…

« Tout d’abord, qui sont ces « internationalistes » [l’on dit maintenant mondialistes, JG] qui veulent diriger la planète ? La réponse surprendra sans doute pas mal de personnes : ceux qui veulent établir un gouvernement mondial sont au nombre d’une quinzaine de familles ! D’ores et déjà, elles régissent toute la haute finance internationale et ont la mainmise sur la plupart des gouvernements par le contrôle absolu de leurs finances et de leur économie nationale. Ces maîtres de la finance ont conçu leur projet après la Première Guerre mondiale et ils œuvrent depuis à faire un travail de sape et de déstabilisation économique dans tout l’Occident.

« Ces financiers portent évidemment l’étiquette de « capitalistes », mais c’est là une notion très illusoire car, en fait, ils n’ont jamais cessé de tirer continuellement les ficelles des partis de gauche aussi bien que celles des partis de droite. Leur idée est logique, nous l’avons vu : déstabiliser les pays occidentaux au plan politique, économique, religieux. On pourra être surpris que ces « novateurs » s’en prennent aux religions. Comprenons leurs mobiles : les grandes religions constituent des barrières morales qui s’opposent aux buts moraux, non altruistes, des promoteurs de ce qu’ils appellent l’Ordre Nouveau Universel [plus récemment rebaptisé Nouvel Ordre Mondial, JG] ; leur pouvoir sur les masses doit donc être considérablement réduit. Des séides de ces « novateurs »-prédateurs se sont infiltrés dans les hautes sphères des principales religions, à savoir au Vatican, en Israël et dans les milieux (d’aucun disent « lobbies ») juifs aux USA. Ils ont été habiles à perturber, altérer, noyauter ces religions et à les rendre pratiquement impuissantes. Les divisions fluctuantes au sein des croyances juive et catholique en sont un exemple. 

« Ainsi, la déstabilisation morale sur le plan religieux étant en très bonne voie, nos maîtres de la finance passèrent ensuite à l’application du début de leur plan de déstabilisation économique, selon un procédé très lent, certes, mais fort efficace et assez élémentaire. Ils obtinrent tout simplement que les pays producteurs de pétrole pratiquent une augmentation soudaine et simultanée du baril de brut, et ce fut ce qu’à l’époque l’on a appelé « les chocs pétroliers ». Leur plan diabolique leur permettait de « tirer les ficelles » et d’agir dans l’ombre, sans être publiquement impliqués dans des tractations peu recommandables. Pour atteindre leur but tout en n’ayant l’air de n’agir que dans l’intérêt des nations dites sous-développées, nos financiers poussèrent les pays arabes à faire payer le pétrole plus cher, alléguant que s’ils agissaient dans le sens suggéré, ils aideraient les pays sous-développés d’Afrique et d’Amérique latine. Ils promirent aux magnats du pétrole de faire accepter les majorations tarifaires par les USA et l’Europe, à la condition que les revenus provenant de ces majorations soient versés à l’International Reserve Bank, laquelle se trouve être entièrement entre les mains des princes de la haute finance américaine et internationale [autrement dit, l’incontournable Trilatérale ! JG].

Source: Externe

« Nous avons tous assisté, avec plus ou moins d’étonnement, à ce qu’il advint par la suite : la Reserve Bank a remis ces fonds à une banque de holding qui, très libéralement, a prêté cette masse énorme de dollars aux pays du tiers-monde, à des taux usuraires. Cette banque de holding, de nos jours, continue à recevoir à peu près régulièrement les intérêts payés par tous les pays sous-développés, accumulant ainsi des sommes astronomiques dépassant le budget de nombreuses nations. Ces intérêts sont reversés presque en totalité à une autre banque de holding, qui place ce pactole pour le compte des pays arabes. Ces placements s’effectuent dans des affaires prospères et généralement de top niveau : chaînes d’hôtels internationaux, productions cinématographiques, domaines agricoles gigantesques, etc. [sans doute aussi blanchiment des narco-dollars, JG]. On ne transfère dans les pays producteurs de pétrole que des intérêts relativement peu élevés. Néanmoins, ceux-ci sont suffisamment confortables pour permettre aux monarques de l’or noir de réaliser des transformations, des travaux d’amélioration impressionnants dans leurs pays, tout en leur laissant assez de menue monnaie pour s’offrir de belles résidences personnelles en Europe et en Amérique. Rien ne semble louche dans toutes ces opérations, mais les auteurs de ce plan machiavélique savent que les choses changeront bientôt.

« En effet, les dirigeants tiers-mondistes, auxquels la banque américaine a prêté des sommes fabuleuses, auraient la tentation de mettre dans leurs poches une bonne partie des fonds colossaux soudain confiés à leur gestion (au besoin, on les y encouragerait un peu !). Les banques de holding savent également que la situation économique de ces pays ne pourrait être valablement améliorée, du fait que l’aide apportée aux industries et aux entreprises agricoles ne pouvait être suffisante. Le taux d’intérêt très élevé exigé par les prêteurs américains ne pourra donc pas être honoré éternellement et ces pays se trouveront plongés dans des difficultés financières encore plus grandes qu’auparavant. D’ailleurs, certains de ces pays commencent déjà à avoir tellement de difficultés à payer les intérêts, que la banque de holding leur suggère la solution suivante, dont le but officiel et de façade est d’arranger tout le monde, sans mettre en péril l’économie de ces nations sous-développées : ladite banque propose donc d’annuler la dette (principale et intérêts) que ces pays ont vis-à-vis d’elle, à la condition que leur gouvernement accepte de signer un accord attribuant à la banque les droits perpétuels et exclusifs de recherche et d’exploitation de toutes les ressources minières de leur territoire national !

« De toute façon, que les gouvernements ainsi pris à la gorge signent ou non de tels accords importe peu aux instigateurs de cette combine monstrueuse. Si les débiteurs ne peuvent pas payer, la banque de holding se trouvera en faillite et cela fait partie du plan diabolique : l’International Reserve Bank expliquera alors aux pays arabes que, la banque de holding ayant fait de mauvais placements, tout leur avoir se trouve volatilisé et dès lors, plus aucun intérêt ne pourra leur être payé ! [Le krach de la BCCI, la Bank of Credit and Commerce International – dont tels clients ou actionnaires angéliques sont par exemple Noriega, la CIA, Abou Nidal et le Cartel de Medelin – a servi de ballon d’essai ou de répétition générale en prélude aux futures réjouissances ! JG] Les pays arabes n’auront alors aucun autre moyen de s’en sortir que de mettre sur le marché, simultanément et d’un seul coup, la globalité des valeurs boursières en leur possession, ainsi que bon nombre de biens acquis par la deuxième banque de holding. D’ailleurs, beaucoup de ces derniers, ayant été acquis à l’aide de prêts non encore remboursés, feront partie des avoirs de la première banque de holding mise en faillite et ne pourront être touchés. Quant aux valeurs boursières, il est aisé de comprendre que la profusion d’actions jetées sur le marché, en même temps, provoquera une banqueroute sans précédent et d’une telle ampleur que toutes les économies du monde occidental s’écrouleront à peu près simultanément !

« C’est là précisément le but visé par nos Machiavels de la finance, car l’argent ne vaudra plus rien, les petites et moyennes entreprises disparaîtront, la classe moyenne connaîtra presque la misère, l’homme de la rue sera mécontent et malheureux, et les risques d’un conflit généralisé seront très grands. Les responsables de cette situation commenceront alors à parler de leur projet de Gouvernement Mondial, le présentant comme la seule solution permettant une vraie égalité sociale, l’égalité absolue entre les pays et les peuples, et le meilleur moyen de rendre les guerres impossibles. C’est à ce moment-là que l’utilité des bases comme celle de Pine Gap deviendra évidente. En effet, il est prévu qu’en cas de conflit généralisé, elles serviront de refuge à un groupe privilégié « d’ayants-droit » ! Ces cités abriteront les politiciens du moment, leur administration, les financiers internationaux et leurs lieutenants, ainsi que les familles de ce beau monde.

« Si aucun conflit n’éclate, le Gouvernement Mondial sera alors progressivement mis en place ; le matériel électronique de contrôle psychique des individus qu’abritent ces bases ainsi que les énormes batteries d’ordinateurs perfectionnés contenant les données sur tous les citoyens du monde occidental serviront alors à enrayer toute velléité d’opposition à cette dictature d’un nouveau genre, ce qui ne sera évidemment pas du goût de tout le monde. Dès le début, ce nouveau régime proposera aux peuples « unis » la formule-miracle qui les sauvera à coup sûr : à savoir le remplacement de toutes les monnaies par des cartes plastiques spéciales et la suppression de la propriété, ce qui en principe assurera la « vraie égalité » pour tous. Une chose est probable : les masses salueront l’avènement de ce Gouvernement Mondial qui garantira la paix universelle, et établira la paix et la justice sociale par la force, sans faiblesse…

« Les possibilités offertes par les équipements des bases souterraines disséminées un peu partout dans le monde permettront de faire disparaître sans trace les récalcitrants opposés au « bonheur du peuple » ; peut-être même seront-ils envoyés « ailleurs », comme dans Alternative 3, de Leslie Watkins (Sphere Books, Éditeur) et Christopher Miles pour son adaptation TV [bien évidemment non traduits ni diffusés en France !] Quoi qu’il en soit, tous mouvements insurrectionnels éventuels seront écrasés sans pitié. Nos nouveaux maîtres, c’est probable, annonceront au peuple qu’ils bénéficient de l’aide des Extraterrestres er que nous sommes au début de l’Âge d’Or promis par les Écritures. En fait, ce sera la pire des dictatures jamais connues sur Terre ! »

Rockefeller Center

« L’Apocalypse nous parle de la « Dictature de la Bête », dont le nombre est 666. Or, c’est précisément ce nombre qui, en chiffres géants, domine le colossal empire du Rockefeller Center de Manhattan, siège de l’empire colossal du magnat de la finance à New York. Se pourrait-il que cet éminent personnage devienne notre premier président du Gouvernement Mondial ? On sait déjà que David Rockefeller, dont la fortune incalculable a comme par hasard été générée par le pétrole, se trouve être président-fondateur du CFR et président nord-américain de la Commission Trilatérale… On sait aussi que Georges Bush, avant d’être élu Président des États-Unis, a été l’un des membres fondateurs de cette commission, qu’il dirigea la CIA et présida la Zapata Petroleum Co. Cette dernière compagnie fut étroitement liée aux tractations qui se déroulèrent entre les pays arabes. Il se trouve également que c’est David Rockefeller qui finança la campagne électorale de Dwight D. Eisenhower. […]

« Il est intéressant de noter également ceci : au cours des conférences qu’il a données, Peter Sawyer dévoile notamment que deux frères, banquiers et milliardaires du Texas, dégoûtés de ce qu’ils voyaient se tramer, ont tenté d’enrayer ces manigances incroyables. Pour avoir plus de crédibilité auprès du monde arabe, ils parvinrent à obtenir l’appui politique et financier du shah d’Iran, avant sa brusque déposition si opportune pour les futurs maîtres de la planète… En l’espace de quelques semaines, les deux frères se retrouvèrent en faillite, prétendument frauduleuse, et jetés en prison. Dans le même temps, le shah eut à faire face à une révolution [orchestrée par ce démon pervers de Khomeiny, depuis son exil en France où il entretint, galvanisa ses partisans fanatiques, avec la bénédiction occulte de certains membres français de la Trilatérale ! JG] Le résultat de cette révolution fut la chute du monarque et son départ pour les États-Unis, où il suivit un court traitement en clinique, alors qu’il n’était pas malade ; il parvint à fausser compagnie à la CIA et se réfugia en Égypte où il décéda peu après.

« On voudra bien me pardonner ces digressions, mais il ne m’était pas possible de parler de Pine Gap, sans exposer ce qu’elle représente vraiment dans le contexte mondial actuel… insoupçonné par la majorité des Terriens ! Les bases sœurs de Pine Gap à travers le monde bénéficient exactement des mêmes installations techniques. En Australie, Pine Gap est « appuyée » par une autre base dans la Nouvelle-Galles du Sud, ainsi qu’une base en Australie septentrionale et la base de West-Cape, en Australie occidentale, pas très loin de Perth. Il est certain qu’aux États-Unis et dans l’hémisphère nord, d’autres bases de ce type ont été construites.

« Tout ce qui précède n’est nullement de la science-fiction ; et si certains détails doivent se révéler différents, dans le futur, cela sera dû aux réajustements secondaires opérés au cours des évènements. Tout ce que je relate dans ce texte est absolument véridique et ne fait pas voir l’avenir en rose. »

Lucien H. Cometta

Jimmy Guieu, Nos « maitres » les Extraterrestres (1992)

François-René de Chateaubriand

Voici ce qu’en dit Chateaubriand (1768-1848), dans Mémoires d’outre-tombe :

Chimères d’une société universelle (écrit à la fin des années 1830)

[…] La folie du moment est d’arriver à l’unité des peuples et de ne faire qu’un seul homme de l’espèce entière1, soit ; mais en acquérant des facultés générales, toute une série de sentiments privés ne périra-t-elle pas ? Adieu les douceurs du foyer ; adieu les charmes de la famille ; parmi tous ces êtres blancs, jaunes, noirs, réputés vos compatriotes, vous ne pourriez vous jeter au cou d’un frère. N’y avait-il rien dans la vie d’autrefois, rien dans cet espace borné que vous aperceviez de votre fenêtre encadrée de lierre ? Au-delà de votre horizon vous soupçonniez des pays inconnus dont vous parlait à peine l’oiseau de passage, seul voyageur que vous aviez vu à l’automne. C’était bonheur de songer que les collines qui vous environnaient ne disparaîtraient pas à vos yeux ; qu’elles renfermeraient vos amitiés et vos amours ; que le gémissement de la nuit autour de votre asile serait le seul bruit auquel vous vous endormiriez ; que jamais la solitude de votre âme ne serait troublée, que vous y rencontreriez toujours les pensées qui vous y attendent pour reprendre avec vous leur entretien familier. Vous saviez où vous étiez né, vous saviez où serait votre tombe ; en pénétrant dans la forêt vous pouviez dire :

Beaux arbres qui m’avez vu naître,

Bientôt vous me verrez mourir2. […]

Quelle serait une société universelle qui n’aurait point de pays particulier, qui ne serait ni française, ni anglaise, ni allemande, ni espagnole, ni portugaise, ni italienne, ni russe, ni tartare, ni turque, ni persane, ni indienne, ni chinoise, ni américaine, ou plutôt qui serait à la fois toutes ces sociétés ? Qu’en résulterait-il pour ses mœurs, ses sciences, ses arts, sa poésie ? Comment s’exprimeraient des passions ressenties à la fois à la manière des différents peuples dans les différents climats ? Comment entrerait dans le langage cette confusion de besoins et d’images produits des divers soleils qui auraient éclairé une jeunesse, une virilité et une vieillesse communes ? Et quel serait ce langage ? De la fusion des sociétés résultera-t-il un idiome universel, ou bien y aura-t-il un dialecte de transaction servant à l’usage journalier, tandis que chaque nation parlerait sa propre langue, ou bien les langues diverses seraient-elles entendues de tous ? Sous quelle règle semblable, sous quelle loi unique existerait cette société ? Comment trouver place sur une terre agrandie par la puissance d’ubiquité, et rétrécie par les petites proportions d’un globe fouillé partout ? Il ne resterait qu’à demander à la science le moyen de changer de planète.

1Allusion aux mouvements et aux utopies humanitaires (professions de foi saint-simoniennes et fouriéristes sur une religion de la fraternité humaine) qui conduiront à l’internationalisme.

2Vers de Chaulieu, poète tendre et léger (1636-1720).

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