Cobaye des extraterrestres (11)

Conclusion

Lors d’un message télépathique au début de l’année 1973, mes amis extraterrestres m’apprirent qu’ils avaient une base dans notre propre système solaire, défiant toutes nos lois de physique.

Cette base, m’ont-ils affirmé, est un satellite artificiel de la grandeur d’un planétoïde. Son orbite n’est pas très défini, il est itinérant, mais gravite le plus souvent autour de Vénus et la Terre. Ce satellite s’appellerait KHRISCHTA. Cette information, d’une importance capitale, devait me servir à apporter au monde une preuve scientifique de leur présence dans notre système, puisque le planétoïde nous était alors inconnu.

Ainsi, au courant de l’année de référence, je fis des déclarations à la presse au sujet de ce planétoïde. Une revue spécialisée, Les Cahiers de l’Étrange, fit mention de cette information que je leur avais donnée.

Un de mes amis, scientifique très connu, me rit au nez quand je lui fis part de cette information. Il prétendait, quant à lui, que le moindre petit caillou dans notre système solaire était répertorié et classé. Or, aucun nouvel astéroïde n’avait été vu entre Vénus et la Terre, jusqu’à présent, et cela même avec la lunette géante astronomique du mont Palomar. Mon message télépathique avait-il été faux ?

Il faut croire que non si l’on s’en tient à un article de presse qui parut partout en France et entre autres à Nice, le vendredi 16 janvier 1976. Un astronome américain, Charles Kowal, avait découvert le 26 décembre (donc bien après en avoir parlé moi-même) un astéroïde gravitant en une orbite relativement proche de la Terre et de Vénus, éloigné de l’orbite générale que suit la plupart des astéroïdes : « l’origine de cet astéroïde, qui mesure entre 1 500 et 3 000 m de diamètre, est quelque peu mystérieuse pour les savants ».

Mercredi 22 septembre 1976, une information était diffusée sur Radio Monte Carlo, en même temps qu’elle paraissait dans le journal Nice-Matin du jour.

Cette information concernait un OVNI qui, aperçu au-dessus du ciel de l’aéroport de Téhéran, avait été pris en chasse par deux Phantoms de la Défense iranienne. Au cours de la manœuvre, les occupants des deux chasseurs tentèrent de tirer sur la soucoupe. Une onde magnétique, ou autre, inconnue de l’homme, bloqua leur système électronique de tir, alors que l’OVNI disparaissait à une vitesse de plusieurs fois celle du son.

Une fois de plus, les terriens se sont montrés agressifs, tandis que nos visiteurs de l’espace se sont contentés, eux, de paralyser leur action, sans passer à la défensive.

C’est là, je crois, une preuve incontestable de leurs bonnes intentions à notre égard. Elle ne peut qu’infliger aux humains un sentiment de honte pour leur comportement primitif.

Ibid.