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Les voies de l'étrange et du mystérieux
Les voies de l'étrange et du mystérieux
  • Ce site se propose de rapporter des histoires mystérieuses et peu connues. Car bien souvent, le paranormal est là où on ne l'attend pas. Il évoque aussi certaines énigmes, en les abordant sous un angle inédit.
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Les voies de l'étrange et du mystérieux
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9 octobre 2021

Cobaye des extraterrestres (12)

ANNEXE

Témoignage du psychiatre Jean-L. Just, après avoir examiné le « contacté » :

À 1 h du matin, c’est moi qui aurais eu besoin d’un examen psychiatrique… Voici le récit de cet homme, tel qu’il me l’a raconté :

J’ai servi de cobaye aux extraterrestres

« Je me nomme Jean Miguères, né le 11 mars 1940 à Alger. Actuellement directeur commercial à Nice. En 1969, je dirigeais une affaire d’ambulance à Perpignan.

Le 10 août 1969, à 18 h, je quitte Perpignan pour Rouen, à bord de mon ambulance. À l’intérieur, un blessé grave, son épouse et mon frère. Deux heures plus tard, le blessé meurt. J’arrive à Paris et emprunte l’autoroute de l’Ouest, direction Rouen. À mon bord, un cadavre, une veuve, mon frère et 5 bouteilles d’oxygène, de 700 litres chacune… Je sors de l’autoroute pour une nationale à trois voies.
5 h du matin.
« À l’horizon, je vois s’avancer vers moi, assez rapidement, une espèce de gros nuage d’un blanc mercure, fatiguant pour les yeux… Cette chose se rapprochait de moi à une hauteur d’environ 300 m.

« Alors, en face de moi, sur une autre voie que la mienne, dans une très longue ligne droite, j’aperçois une voiture qui roule dans ma direction. La même voiture que la mienne, une D.S. neuve également. Je roulais drapeau d’urgence déployé, gyrophare tournant, klaxon en branle. L’autre véhicule zigzaguait, comme fou… Je changeais de voie, il en changeait aussi. Je roulais à 160 km/h, lui à 170… Je savais que nous allions nous heurter. Que le choc était « dirigé ». Comment je le savais ?... Je le savais. C’est tout. À ce moment, j’ai parfaitement distingué sous le « nuage » une plaque métallique, ronde et noire…
« Au moment du choc : un homme, inconnu, soudain, à côté de moi, m’a posé la main dans le dos et m’a dit : « Ne crains rien. Tout va bien ». Je me suis alors senti très calme, rassuré. Après le choc, les enquêteurs ont cherché cet inconnu, ils ne l’ont jamais trouvé… »

Il se tait. J’attends la suite. Elle vient…

« Choc épouvantable… L’autre conducteur : mort, décapité. Mon frère : éjecté, intact. La veuve : contusionnée. Moi : un mort-vivant.
« Mais tout a vraiment commencé un an plus tard, alors que j’étais hospitalisé à Perpignan pour une énième intervention : « on » m’apprit que je venais de servir de cobaye à des extraterrestres ! »

« Dessine ! C’est le plan d’une soucoupe. »

« Je ne marchais qu’à l’aide de cannes… À ce moment-là, j’étais couché. Seul dans ma chambre. En face de mon lit, j’ai aperçu une boule lumineuse de la taille d’une balle de ping-pong, qui se mit à tournoyer intelligemment. Un sentiment de panique m’envahit. Je voulus appeler. Impossible. Ni bouger. Alors, d’un seul coup, j’ai revu la masse métallique de mon accident. Je me suis senti apaisé. Une voix m’a dit (à l’intérieur de ma tête) : « Voici la preuve de notre confiance. Prends un crayon et du papier. Dessine. Inscris telle formule. Il s’agit du plan d’un de nos engins. »

Télépathie alien

« J’ai écrit sans savoir ce que ça voulait dire. Ma femme est arrivée. Je lui ai tout raconté. Elle m’a cru fou. Elle a appelé le professeur J… Il m’a dit : « Écoute, Jean, tu perds la boule… Je vais te soumettre à des tests psychiatriques. » J’ai dit oui. Après les tests, le Pr J., abasourdi, m’a dit : « Tu es parfaitement sain d’esprit. Je n’y comprends rien. »

« Petit à petit, je compris que j’étais doué de facultés surhumaines. Volontairement. Dans un but bien déterminé. Mort-vivant, condamné par la « Science », couvert de plaques sur tout le corps, je n’ai jamais été aussi vigoureux, bien portant, et intellectuellement si clairvoyant. Une seule question me tracassait : pourquoi moi et pourquoi avoir permis la mort de l’autre conducteur ? Alors, ils m’ont tout révélé :

« Nous venons de Vénus. Nous t’avons choisi pour servir notre cause. Nous avons VOULU cet accident, car nous étudions votre métabolisme et vos réactions physiques dans des cas précis. »
Alors j’ai demandé :
« Pourquoi avoir tué un homme pour ça ? » À partir de cette question, j’ai ressenti une vive douleur dans mon cerveau, comme si on y imprimait quelque chose :
« Sers notre cause, qui est celle des Terriens, car votre planète touche à sa fin… Tu prépareras tes frères à notre venue en 1996. »
« Voici un code. Il te servira à nous joindre. »
« Il ne se passera rien de grave d’ici 1996. Nous veillons. Nous tenons tous les leviers de commande. Deux millions de Terriens sont programmés par nous, même s’ils ne le savent pas toujours.
Comme ceux que nous avons choisis pour accomplir cette mission, tu les prépareras à notre arrivée, en 1996. Nous viendrons alors par millions. Pour les sauver. Pas pour leur faire de mal. Mais il faut les habituer petit à petit à cette idée, car – sinon – ils emploieront contre nous leurs armes dérisoires et nous serons obligés de riposter. Alors, ce serait le carnage ! Voici un code. Si tu décides de quitter la Terre à bord d’un de nos vaisseaux, emploie ce code. Et nous t’emmènerons. Ton corps sera dématérialisé pendant le voyage. »
-Pourrais-je revenir sur Terre ?
-Nous ne pouvons pas te le garantir. Voici ton nouveau nom : tu t’appelles Straub.
-De quoi sauverez-vous la Terre ?
-De la destruction due à la folie des hommes.
-Qui survivra ?
-Tous ceux qui croiront en nous. Les autres périront.

Source: Externe

Je demande à Jean Miguères s’il a déjà utilisé ce code.
-Oui. Une seule fois. Quelqu’un m’avait demandé de commander un survol de Nice, tel jour, à telle heure. J'ai eu la faiblesse d’accepter. Le survol a eu lieu.
L’intéressé confirme :
-Je n’y croyais absolument pas. Pourtant, au jour J, j’ai vu très nettement une soucoupe volante au-dessus du port de Nice…
-Avez-vous utilisé une nouvelle fois ce code pour une expérience semblable ?
-Non. Jamais. Je n’aurais pas dû. Je ne recommencerai plus. Ils ne le veulent pas.
-Qui, ils ?
-Les extraterrestres. Ils me l’ont interdit. Sous peine de mort. Cette fois, il s’agissait d’un ordre verbal.
-De qui ? Qu’est devenu le plan de la soucoupe ?
-Je le cache. Si je le montre, je meurs.
-Vous ne l’avez jamais montré ?...

Il hésite. Une sorte de peur se lit sur son visage. Puis il se décide :
-J’ai confiance en vous. À vous, je peux le dire… Oui, j’ai montré mon plan. Au professeur Pagès, à Perpignan.
Le professeur Pagès est un savant mondialement connu et estimé, psychiatre, physicien mathématicien, il s’intéresse depuis plus de 40 ans au problème de la propulsion des engins à travers l’espace.
-Ils m’ont autorisé à lui montrer mon plan. Lorsque je suis entré dans son cabinet, il m’a seulement demandé : « Avant d’aller plus loin, comment se déplace le vaisseau dont vous affirmez détenir le plan ? Télépathiquement ou manuellement ? » Alors je lui ai répondu : « Manuellement ». « Asseyez-vous maintenant et causons ! Si vous m’aviez répondu « télépathiquement », vous repassiez ma porte à toute vitesse… »

En voyant mon plan, il (le Pr Pagès) s’est écrié :

-Mon Dieu… Extraordinaire ! Regardez !

« Et, d’un tiroir, il a sorti un plan : le même que le mien… moins trois éléments. Le professeur a trouvé les deux premiers sur mon croquis. Le troisième (le secret de la propulsion de ces engins) n’est gravé que dans ma tête. Je ne dois le révéler à personne. Sinon, je meurs. »

« Soyons logiques : qu’en feraient les hommes de ce terrible secret ? La plus grande découverte depuis 2000 ans : le secret de l’antigravitation sur lequel travaillent les plus grands savants russes et américains… 400 000 km/secondes, sans le moindre dommage pour le corps humain ! Imaginez le pouvoir de destruction entre les mains des Terriens qui ne pensent qu’à se tuer les uns les autres !
-Que vous a encore dit le Pr Pagès ?
- Si vous êtes fou : alors je le suis plus que vous. Vous êtes le Jules Verne des temps modernes ! »

Mme Miguères, son épouse, écoute son mari, intensément.
-Ce que je crois ? Que mon mari dit la vérité, bien sûr. Mais ces problèmes ne me passionnent pas. J’ai seulement PEUR pour lui.
-Avez-vous eu la preuve que ce qu’il raconte est vrai ?
-Oui. Une fois. Mais d’une façon extraordinaire. Il vous a dit qu’on l’avait rebaptisé Straub. Or, ce détail, personne ne le connaissait. Sauf lui et moi. Un soir, au cours d’un dîner, mon mari racontait son aventure à des amis. Dehors, il pleuvait et les vitres du restaurant étaient embuées. Emporté par son sujet, soucieux de convaincre, mon mari s’apprêtait à décrire le plan et… peut-être à réciter toute la formule. Alors un inconnu se leva de table, s’approcha de la vitre et – avec son doigt - traça sur la buée : Straub. En passant près de mon mari, il murmura : « il était temps ! »
« Voilà. J’ai vu et entendu. »

-M. Miguères, cet homme, l’avez-vous revu ?
Il détourne, pour la première fois, le regard.
-Me… faites-vous pleinement confiance, M. Miguères ?
Il hésite.
-À l’homme, oui. Au journaliste : je ne sais pas. Peut-être… oui…
Il semble attendre quelque chose.
-Oui. Je le revois. Il s’agit d’un extraterrestre. C’est lui qui me donne des ordres.

Ibid.

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