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Les voies de l'étrange et du mystérieux
Les voies de l'étrange et du mystérieux
  • Ce site se propose de rapporter des histoires mystérieuses et peu connues. Car bien souvent, le paranormal est là où on ne l'attend pas. Il évoque aussi certaines énigmes, en les abordant sous un angle inédit.
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Les voies de l'étrange et du mystérieux
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30 mai 2017

Conclusions de l'auteur

Ce qu'annonçait la Genèse s'est réalisé mot pour mot, ce qui reste encore en suspens se réalisera de la même façon, non par une future action punitive de Dieu, mais comme une conséquence obligatoire du péché originel. L'espèce humaine, victime d'aliénation mentale, dévastera obligatoirement la terre par son "progrès" et celle-ci finira par ne donner que des épines et des chardons et l'homme devra mourir de mort sur le désert qu'il aura lui-même créé.

Voilà ce que dit la Genèse. Il n'y a là aucun message de joie pour l'être qui consomma du concentré d'intelligence pour devenir rapidement aussi intelligent que Dieu et n'en devint que fou.

L’homme est particulièrement fier d’une phrase de la Genèse. Et cette phrase, il l’exprime en majuscule afin de la faire ressortir : « Dieu créa l’homme à son image. » La Genèse exprime clairement que le plan de Dieu était de faire naître du croisement entre deux races de singes un être optimal, qui, dans le cadre d’une évolution naturelle, aurait atteint au bout de milliards d’années une intelligence élevée d’ordre divin. Cette terre offrait donc les meilleures perspectives possibles pour ce mélange idéal. Autrement dit, il y aurait eu aussi sur terre des êtres d’une intelligence élevée et divine, tels qu’il en existe sur d’autres planètes, qui sont en relation et télépathie, dans tout l’univers, avec des êtres nantis d’une intelligence élevée analogue. Ce sont les fameux dieux mortels avec lesquels l’homme pouvait aussi communiquer par télépathie, peu avant son aliénation mentale.

Mais cette race mélangée a perdu ses chances à cause du péché originel. Elle n’a pas attendu son évolution naturelle mais a cherché, par le cannibalisme, à devenir aussi intelligente que Dieu, en agissant pour ainsi dire derrière son dos et contre toutes les règles de l’ordre naturel. Elle voulait réaliser cet objectif à bref délai, c’est-à-dire en un million d’années, alors que par évolution naturelle, elle n’y serait même pas parvenue en 20 millions d’années. Cette race acquit une intelligence énorme et put déjà s’entendre mentalement avec des êtres extraterrestres donc d’une grande intelligence, mais cette intelligence s’altéra du fait de l’aliénation mentale. L’espèce perdit alors ses facultés divines.

C’est ainsi que prit naissance ce fou génial qui continue à être convaincu de sa ressemblance avec Dieu et ne veut pas admettre qu’il a contrecarré les plans de Dieu et détruit ses propres chances. Il s’applique aussi à ne pas reconnaître cette vérité dans la Genèse et n’y lit que ce que Dieu voulait faire de lui.

=> Je ne suis pas d'accord avec cette conclusion.

D'abord, si Dieu existe, comment a-t-il pu tolérer une telle violation de ses lois ??? Car il devait forcément prévoir les conséquences... Et n'oublions pas que si la Genèse reproduit les écrits sumériens, les Hébreux en ont rajouté. C'est du judaïsme que vient l'idée que l'homme a été créé à l'image de Dieu, qu'il est supérieur à toutes les autres créatures, et qu'il doit les commander. Comme si les animaux avaient besoin de lui pour se nourrir et se reproduire !

Tout comme beaucoup de scientifiques, il est lui aussi prisonnier de son éducation judéo-chrétienne.

Il y a, je crois, des organismes qui vivent sur notre planète depuis des millions d'années... Pour autant, ils n'ont toujours pas acquis une intelligence phénoménale. Il semble, d'après l'observation des êtres vivants, que ça ne soit pas le but.

Sur ce plan, mes idées diffèrent radicalement des siennes : la perfection n'est pas, et ne sera jamais, de notre monde.

Ceux qui doutent encore des véritables raisons qui ont présidé à la naissance de l'humanité, se poseront certainement la question suivante : ce "fruit du savoir" qui rend intelligent et dénude était-il effectivement le cerveau du congénère, ou était-il le fruit de quelque arbre, planté au "milieu du jardin" ?

Il serait absurde de prendre à la lettre cette description imagée qui figure dans la Genèse. Il n'existait pas d'arbre dont les fruits exerçaient une action sexuelle, tout en dénudant et rendant intelligent. Si cet arbre avait existé, non seulement les ancêtres de l'homme mais aussi toutes les races de singes auraient usé de ses fruits et seraient également devenus intelligents, nus et sexuellement malades.

Il y avait sûrement et il y a encore des plantes qui augmentent la sexualité tout en exerçant des effets passagers sur l'intellect. Comme on l'a déjà mentionné, le saladjin, plante qui répond à ces critères, est encore consommé en Asie par les singes comme drogue sexuelle. Ces plantes et plusieurs autres étaient sûrement utilisées autrefois par les singes pour les mêmes raisons. Pourtant, aucune race de singes n'est encore devenue intelligente, ni n'a perdu son pelage.

Une seule race de singes déterminée aurait-elle mangé une plante miraculeuse qui l'aurait dénudée, rendue intelligente et transformée en espèce humaine ? Cette possibilité est également exclue, car la grande variété des races humaines existant aujourd'hui prouve que l'humanité n'est pas issue d'une seule race de singes, mais de plus de cent races différentes.

Pourquoi alors chercher fébrilement une plante miraculeuse qui n'existe pas, quand il existe sous terre des quantités de crânes cannibalisés qui parlent d'eux-mêmes ?

Le fruit de l'arbre du savoir, qui rend intelligent et dénude, c'est le cerveau humain et rien d'autre. Et la quantité innombrable des crânes cannibalisés prouve que l'homo sapiens a consommé le fruit du savoir de façon continue, pendant au moins un million d'années.

Pourquoi la Genèse ne dit-elle pas alors de façon nette que le fruit du savoir est le cerveau ? La version originale de la Genèse a été consignée en écriture imagée, alors qu'il n'existait aucune langue et qu'on n'avait donc aucun mot pour désigner le cerveau. Il était donc impossible de s'en tirer autrement que par une figure. Et de plus, qu'est le cerveau, sinon le fruit du savoir ? Aujourd'hui encore, on pourrait le désigner ainsi.

Mais comment l'arbre s'insère-t-il dans la Genèse ?

Résultat de recherche d'images pour "arbre"

Il faut avoir essayé de déchiffrer d'anciens idéogrammes pour savoir combien il est difficile de distinguer le dessin d'un arbre et celui d'un homme. Souvent, c'est même impossible. Comment, en effet, représentait-on l'homme en écriture imagée et comment est-il représenté aujourd'hui encore dans quelques tribus de Noirs ou quelques races de la jungle ? À l'extrémité supérieure d'une ligne verticale, se trouve un cercle qui figure la tête. À l'extrémité inférieure de la ligne, deux lignes écartées figurent les jambes et le sexe masculin pend entre ces deux lignes, souvent presque jusqu'au sol. Est-ce un homme ou un arbre, avec des racines, qui porte un fruit ? Cet idéogramme peut signifier les deux et le sens de chaque dessin n'est donné que par le contexte. Il était donc inévitable que l'homme, après son aliénation mentale, prenne l'image d'un homme, dans la Genèse, pour celle d'un arbre; il ne pouvait plus imaginer que l'hominisation pût avoir quelque rapport avec la consommation de cerveau.

le dieu slave Kupala 

hommes dans un jardin chinois

Pour lui, l'image d'un homme pouvait très bien être représentée par un arbre enraciné dans la terre. Et la tête était le fruit défendu du savoir, dont la consommation peut rendre intelligent. C'est un fait connu et même publié par les chercheurs que, par exemple, en Nouvelle-Guinée, le signe (idéogramme) utilisé pour l'homme et l'arbre est absolument identique. L'interprétation dépend du contexte. C'est exactement là que l'homme s'est trompé dans son interprétation de la Genèse, parce qu'il ne pouvait croire qu'il avait pris le "fruit du savoir" dans la tête d'un homme.

=> Et là on pense immédiatement à l'arbre généalogique..., et à l'expression française "vieille branche".

arbre

Un "savant" qui défend la thèse de l'évolution naturelle pourrait faire l'objection suivante : si l'humanité était issue de la consommation de cerveau, elle le saurait aujourd'hui encore, car ce souvenir se serait sûrement transmis de génération en génération.

Mais que transmettre si, comme on l'a expliqué, l'humanité a oublié toute sa préhistoire et tout le processus de l'hominisation ? Sait-elle par exemple que l'homme était autrefois un singe velu qui ne marchait pas en station verticale et qu'il perdit son pelage ? Quelles que soient les raisons alléguées par la science pour expliquer cette absence de souvenirs, celle-ci est obligée de reconnaître que l'homme a perdu à un moment quelconque le souvenir de son passé. C'est à peine si l'on est prêt à en reconnaître la raison : l'aliénation mentale et ses causes.

L'homme a sûrement continué à pratiquer le cannibalisme jusqu'à aujourd'hui de façon sporadique, et ses motifs sont restés les mêmes : augmenter son plaisir sexuel, sa fécondité et son intelligence. Il est amené à cette pratique par les souvenirs conscients et subconscients des avantages qu'apporte la consommation de cerveau.

Que le cannibalisme soit un péché, nous en sommes aussi convaincus aujourd'hui que le premier homme qui se cacha après avoir consommé le "fruit du savoir". Mais si le cannibalisme fut pratiqué de façon si générale et par toutes les races, sur tous les continents, pourquoi n'y a-t-il pas de reproductions sur le sujet, sculptées dans le roc ? Depuis l'âge de pierre, l'homme a cependant noté tout ce qu'il faisait et vivait. Chasses, guerres, noces, même les rapports sexuels étaient consignés dans la pierre et l'argile. Pourquoi n'a-t-il pas reproduit le cannibalisme ? Dès le début, cet acte fut considéré comme le plus grand des péchés et resta toujours un secret et un tabou.

On connaît cependant quelques reproductions de la préhistoire qui font allusion au cannibalisme. Nulle part, cependant, il n'a été conservé de reproduction sur laquelle un homme cannibalise un crâne, l'évide et le mange. Il n'est cependant pas exclu qu'on puisse encore trouver ce genre de reproductions secrètes.

Les races qui pratiquent encore aujourd'hui le cannibalisme et sont restés partiellement à l'âge de pierre ont également des activités artistiques et consignent beaucoup de choses dans la pierre, le bois et l'argile, mais jamais elles n'ont représenté le cannibalisme.

Et quand elles parlent de cannibalisme, elles emploient des expressions codées comme "tâter la chair" et "prendre le fruit". Dans ce cas, le cerveau est curieusement appelé soit "le fruit", soit "la fleur".

Pour eux, le cannibalisme est encore aujourd'hui un tabou, lié à un sentiment de culpabilité. Il n'est donc exercé qu'en groupe, afin que la faute soit partagée. Pour les mêmes raisons, il s'accompagne chaque fois d'une cérémonie rituelle. Chez quelques peuples naturels, les jeunes gens devenus pubères sont initiés, c'est-à-dire admis dans les rangs des hommes en âge de se marier. Ils doivent être séparés plusieurs jours de la tribu, vivre dans une hutte fermée, ou seul a accès l'homme de médecine de la tribu qui les instruit.

Ces huttes sont en fait les hautes écoles de biologie où l'homme de médecine explique, entre autres, l'effet ainsi que le comment et le quand de la consommation de cerveau. Les jeunes gens doivent jurer, sous peine de malédiction, qu'ils ne divulgueront pas ce savoir secret. Mais le sentiment de culpabilité suscité par le cannibalisme ne diminue pas non plus chez eux.

Ce sentiment de culpabilité héréditaire et subconscient défendit à l'homme de reproduire le cannibalisme et ce même sentiment de culpabilité subconscient empêcha aussi le savant d'examiner les rapports entre le cannibalisme et la formation de l'humanité. L'interprétation si importante de la Genèse pâtit des mêmes circonstances.

Les véritables raisons de l'hominisation et l'interprétation correcte de la Genèse influenceront cependant de façon décisive le mode de pensée et les objectifs futurs de l'humanité. Les théologiens seront les plus acharnés à combattre cette vérité, car ils ont fait de la Genèse, telle qu'ils l'ont interprétée, l'une des bases de leur religion et ont attribué à l'homme une mission divine qui n'existe pas. Cela vaut pour les 12 millions de juifs, et le milliard de chrétiens.

=> On peut y ajouter le milliard de musulmans, qui pratiquent la religion de Moïse.

Si les véritables raisons de l'hominisation ainsi que la nouvelle interprétation de la Genèse sont acceptées, l'Église n'aura rien d'autre à faire qu'à prendre nettement position. Si elle en reste à sa version, elle devra s'attendre à être abandonnée de ses adeptes. En revanche, si les Églises acceptent la vérité, cela signifie leur perte. Parmi les doctrines religieuses, seules resteront les vérités philosophiques, irréfutables et valables en général, proclamées par des prédicateurs aux pieds nus, tels que Bouddha ou Jésus, qui fondèrent des mouvements spirituels, mais non les Églises organisées et leurs dogmes qu'ils répandirent dans le monde.

Paradoxalement, les doctrines d'aucune religion du monde ne font valoir aussi nettement le principe de cannibalisme que l'Église chrétienne qui, pour raison "religieuse", doit être la plus énergique à refuser l'hominisation par le cannibalisme. Lors de la Cène, appelée aussi communion, le pain et le vin sont transformés en chair et sang de Jésus-Christ. La consommation de ces substances matérielles doit procurer des avantages spirituels. Ce rituel est lié, en plus, au concept de l'expiation et du sentiment de culpabilité et il est même exercé de façon collective.

=> Il est à noter qu'une secte indienne pratique un rituel similaire...

Le souvenir subconscient du cannibalisme et ses effets sont si profondément ancrés en l'homme et agissent encore aujourd'hui si fortement que, sans qu'il le sache, ils influencent ses actes et pensées, dans tous les domaines. L'amour, la guerre et la religion ne font pas exception.

[...]

S'il y a mission divine, celle-ci est remplie par les animaux et les plantes qui s'adaptent entièrement à l'ordre cosmique et s'en tirent sans progrès.

La créature préférée de Dieu s'apercevra, dans un avenir assez proche, qu'elle ne peut poursuivre impunément ses crimes. Il sera alors trop tard et le sable des déserts annoncés par la Genèse, et que l'homme aura créés lui-même, lui grincera déjà entre les dents.

C'est ce que dit la Genèse, et celle-ci n'est pas un conte de fées. On ne voit pas où les théologiens y verraient un message de joie.

Ibid

À suivre Retour à la case départ

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