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Les voies de l'étrange et du mystérieux
Les voies de l'étrange et du mystérieux
  • Ce site se propose de rapporter des histoires mystérieuses et peu connues. Car bien souvent, le paranormal est là où on ne l'attend pas. Il évoque aussi certaines énigmes, en les abordant sous un angle inédit.
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Les voies de l'étrange et du mystérieux
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17 mai 2017

Une théorie s’effondre (4)

Que disent les « savants » sur la chasse et le régime carnivore ? Tous les singes hominidés étaient et sont encore essentiellement végétariens ; un très petit nombre de races de singes – la plupart, non hominidés – mangent à l'occasion des vers, des souris et d'autres petits animaux. Les ancêtres de l'homme étaient également des végétariens de ce genre et ne devinrent carnivores que pendant le processus d'hominisation. Ce changement s'est opéré il y a environ un million d'années, et quasiment du jour au lendemain, sans longue période de transition.

La science voit là une évolution naturelle, et le fait de manger de la viande serait un signe d'accroissement de l'intelligence et même un progrès, car la viande assurerait à l'homme une nourriture « plus facile » et « meilleure ».
Les loups et chats sauvages, qui étaient des carnivores, plusieurs millions d'années auparavant, seront sensibles au compliment.

En quoi le demi-homme, ou demi-singe végétarien put-il mieux se nourrir en passant au régime carnivore ? N'était-il donc pas suffisamment nourri auparavant ? Il faut en conclure alors que tous les autres singes ne l'étaient pas et ne le sont pas encore aujourd'hui, puisqu'ils sont restés végétariens. Pourquoi n'ont-ils pas depuis longtemps disparu ? Pourquoi sont-ils cent fois plus sains que n'importe quelle race humaine, sauf s'ils vivent au zoo ? Serait-ce que tous les animaux végétariens se nourrissent mal, uniquement parce qu'ils ne sont pas assez intelligents pour devenir carnivores ? Une intelligence supérieure implique-t-elle forcément un régime carnivore ? Et à quel degré d'intelligence doivent-ils parvenir à cet effet dans le cadre d'une évolution naturelle ? À quel moment les vaches pourront-elles mordre et à quel moment les éléphants mangeront-ils de la viande ?

On peut se demander aussi pourquoi le régime carnivore a brusquement permis à l'ancêtre de l'homme de se nourrir plus facilement. Depuis quand est-il plus facile de tuer une gazelle ou un bison que d'arracher un fruit d'un arbre ?
Il est cependant établi que toutes les races animales végétariennes ont toujours pu résoudre leurs problèmes de nutrition sans être obligées de se transformer en animaux de proie.
Pourquoi les ancêtres de l'homme n'auraient-ils pas été assez intelligents pour y parvenir ? Le passage au régime carnivore n'est donc pas une preuve d'astuce mais de sottise. Comment se fait-il alors que ce soit justement les singes les plus sots qui aient donné l'homme ? Pourquoi dit-on alors que le passage au régime carnivore est un signe d'intelligence supérieure ?

Les races de singes végétariens n'ont jamais eu de raisons impératives pour passer au régime carnivore, comme le prétendent quelques savants ; il y a toujours eu sur cette terre une provision plus grande de plantes que d'animaux et il y a toujours eu davantage d'animaux végétariens que d'animaux carnivores. S'il en était autrement, il y a longtemps que les animaux auraient disparu de la terre.

Le passage d'une nourriture végétarienne à une nourriture animale s'est opéré chez l'homme dans le tout premier stade de son évolution et en un temps très court, pour ainsi dire du jour au lendemain. C'est un phénomène absolument contraire à la nature ; il ne peut être le signe ni d'une évolution naturelle ni d'une augmentation de l'intelligence.

chasse

Toutes les théories mentionnées sont extrêmement contradictoires et elles ont été proposées, sous le manteau d'un vocabulaire spécialisé, sujet à caution, à un public désireux de voir confirmer la mission divine de l'homme, bien qu'il en doute de plus en plus.
Si les théories présentées jusqu'ici sont inexactes, où est la vérité ?

Si les savants n'avaient pas toujours recherché ce qui concorde chez les hommes et les singes, mais s'étaient plutôt attachés aux différences les plus frappantes, ils seraient vraisemblablement allés plus loin. Au lieu de cela, ils se sont toujours réjouis de découvrir ce que l'homme a en commun avec le singe ou l'inverse.

Les différences physiques et intellectuelles les plus révélatrices sont celles-ci : les singes hominidés possèdent une fourrure de poils que l'homme a perdue pendant le processus de l'hominisation. Il a donc été forcé de la remplacer par un vêtement artificiel, sans lequel il aurait péri.

Le sexe féminin des mammifères, y compris des singes hominidés, possède un dispositif fonctionnel indiquant la période de fécondité. Pendant cette période, l'organe sexuel féminin se décolore et grossit, en sécrétant un liquide odorant. Le mâle ne s'unit avec la femelle que lorsqu'il est excité par ces signaux. Les ancêtres femelles de l'homme possédaient aussi ces signaux sexuels. Ils se perdirent justement pendant le processus de l'hominisation. Le mâle et la femelle humains peuvent être excités sexuellement et s'unir même quand ces signaux de la femelle sont absents, ce qui était exclu auparavant.

=> Si les femmes ne manifestent plus ces signaux, c'est parce qu'elles sont fécondes toute l'année, et tous les jours du mois. Et qu'on ne me parle pas de cette fameuse courbe de l'ovulation, à partir du 12e jour, ou que sais-je. Ce sont là des sottises ! Mis à part quelques femmes (très minoritaires) qui ne sont fécondes que quelques jours par mois, les autres femmes peuvent tomber enceintes n'importe quel jour. Et je suis sûre de ce que je dis, car, en ayant parlé avec ma doctoresse (j'avais compris comment cela fonctionnait), elle m'a dit : "Oui, tu as raison, c'est comme ça que ça marche." 

Les singes hominidés étaient et sont encore assez intelligents pour accomplir toutes les tâches nécessaires à l'existence. Même les ancêtres singes de l'homme possédaient une intelligence suffisante à cet effet. Leur intelligence s'est cependant accrue dans des proportions énormes, pendant le dernier million d'années, bien que la nature n'ait pas placé les ancêtres des hommes, ni les autres races de singes, devant de nouvelles tâches. L'extraordinaire accroissement de l'intelligence qui s'est produit chez cette espèce était donc sans motif, contraire à la nature et nullement nécessaire pour la poursuite d'une vie saine. Ce fut au contraire une cause de discordance entre les besoins et les aspirations d'ordre physique et intellectuel. L'homme en perdit l'équilibre naturel entre le corps et l'esprit. Ce n'est nullement un pas vers la perfection ni vers le bonheur et par conséquent cela ne peut pas être en accord avec l'ordre cosmique.

=> Les scientifiques honnêtes le reconnaissent, nos ancêtres ont développé une intelligence intellectuelle, alors qu'ils n'en avaient nul besoin. Il suffit d'observer les animaux, qui se débrouillent très bien, tout en se passant de réflexions philosophiques, ou d'équations mathématiques... Ils affichent une sérénité qui fait défaut aux humains, d'où les déprimes, voire dépressions pour certains.

Ibid

À suivre Excédent d'un côté, carence de l'autre

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